-
Un amant...
Datte: 15/09/2017, Catégories: fh, fhhh, fépilée, hotel, boitenuit, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe yeuxbandés, journal,
En fait, cet amant n’avait au départ rien d’unique mais il avait toujours été singulier. Leur rencontre s’était faite par le biais d’un site échangiste où elle glanait ses partenaires expérimentés alors qu’elle était encore mariée. Elle cherchait à s’épanouir sexuellement sans remettre en question son couple. Il était dans la même quête et l’avait contactée. Leurs premiers échanges avaient été directs : Rendez-vous fut pris. Avec la ponctualité d’un horloger, il sonna à la porte à l’heure précise. Sans ambages, elle l’emmena dans la chambre où il prit d’emblée les choses en main l’effeuillant tranquillement mais sûrement. Il retira un à un les boutons de son gilet, dévoilant progressivement le soutien-gorge balconnant qu’il dégrafa de main de maître, mettant à nu la poitrine fermement dressée. — Ils remplissent bien la main, les tétons sont tendus de manière exquise : très jolis seins ! Il les embrassa délicatement et d’une caresse légère la faisant frissonner ajouta : — Ta peau est d’une douceur infinie ! Sans changer de rythme et toujours avec le sourire, il fit descendre la jupe le long des jambes et la posa sur la commode délicatement. Sa main se faisait caressante dans un entrejambe déjà humide. — Je vois que madame est connaisseuse, le slip est au-dessus du porte jarretelle ! Et le morceau d’étoffe rejoignit la jupe sur le meuble. Écartant délicatement les lèvres avec les doigts : — Quelle magnifique chatte impudique ! Alors, tu aimes l’exhib ? Retourne-toi ! Elle ...
... s’exécuta docilement. Son cœur battait à tout rompre. Elle lui avait dit qu’elle ne voulait pas de rapports SM et il lui avait promis de la domination douce : elle se sentait déjà en confiance entre ces mains expertes, ce regard envoûtant et ce sourire enjôleur. — Jolies fesses. Baisse-toi ! Elle continua de faire ce qu’il lui demandait, surprise par l’excitation que la situation lui procurait. — Quel beau cul ! Pour la mener un peu plus loin encore dans l’impudeur, il lui écarta les fesses et approcha son visage. — Et qui sent bon ! Elle était nue, tous orifices offerts à son regard. Il était habillé. Le décor était planté. Elle savoura la situation, consciente que ces compliments relevaient plus de la courtoise séduction que d’un réel compliment. Peu importe c’était bon à entendre ! — Tu peux te redresser maintenant. Elle se retrouva face à lui, et à son tour commença l’effeuillage. Leurs visages s’effleurèrent. — Non, c’est vrai pas sur les lèvres ! C’était une des conditions qu’elle avait posées : les lèvres étaient réservées au conjoint (quelle idée : son mari n’avait jamais su l’embrasser correctement, mais il fallait bien fixer des cadres !) Sourires. Ils évitèrent soigneusement la bouche déposant de tendres baisers sur le reste du visage. Elle se blottit contre lui, s’imprégnant de sa douce odeur. Le léger picotement d’une barbe naissante frôlant son cou la fit frémir. Très vite, elle céda à la tentation et offrit sa bouche comme elle offrirait le reste… sans retenue. Les ...