1. Des 2 cotés du fouet


    Datte: 14/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore,

    ... d’étirer mes bras et tout mon corps car mes pieds touchent à peine le sol. La posture à laquelle je suis contrainte me fait cambrer les reins et saillir la vulve et la poitrine. Alain, qui était encore le seul à être habillé, quitte ses vêtements et, nu devant moi, m’interroge :— Puis-je te fouetter les seins ? Acceptes-tu les aiguilles ? Les pinces ?"Bernard répond pour moi :— Sans aucun problème, mais ne me l’abîme pas.Puis, tandis qu’Alain va chercher un martinet à larges lanières qui ne laisse pas de marques trop profondes, Bernard se tourne vers moi :— Mon amour, mon unique, tu vas danser pour mon plaisir et je sais que, nous regardant te regarder, tu auras du plaisir toi aussi. Veux-tu que je te donne une balle de mousse à mordre ou préfères-tu crier ?— Je préfère crier car je sais que ça t’excite encore davantage.— Comme tu voudras !— Bernard !— Oui !— Dès qu’il aura fini, baise-moi !— Plutôt deux fois qu’une !J’ai beau m’y attendre, quand les lanières s’abattent sur mes cuisses, je fais un bond. Alain n’est pas du genre à simuler. Il frappe méthodiquement les épaules, le dos, les fesses. Mon corps se tord sous les coups (Bernard dirait que je danse). Je retiens mes cris le plus longtemps possible, mais quand Alain passe devant moi et que les lanières s’abattent de plus en plus violemment sur les hanches, sur les seins, je me mets à hurler comme Martine tout à l’heure. Alain et Bernard bandent de plus en plus et c’est ma récompense. Je leur offre le spectacle de mon ...
    ... corps nu fouetté et le plaisir qu’ils prennent devient mon propre plaisir. Tandis qu’Alain s’acharne sur ma croupe et que perlent les premières gouttes de sang, Bernard vient refermer sur la pointe de mes seins les mâchoires d’acier des pinces et, sous cette douleur atroce, je jouis interminablement.On me détache et, aussitôt, comme je le lui ai demandé, Bernard me prend en levrette. Que c’est bon de retrouver au fond de moi sa longue bite dure qui va et vient sans se lasser, sans faiblir. Alain passe devant moi, bite dressée, impérieuse et belle. Va-t-il me l’enfoncer dans la bouche ? J’aimerais assez, mais pour l’instant, il se tourne vers Martine et lui donne un ordre :— Prépare-le !De quoi s’agit-il ? Je ne sais et je décide de me concentrer sur le plaisir que me donne Bernard. Il va et vient au plus profond de moi et c’est un vrai régal. Mais pourquoi s’arrête-t-il à présent ? Qu’il continue ! Qu’il continue ! Je jette un coup d’œil dans l’un des miroirs latéraux et je comprends : Martine s’est agenouillée derrière lui et, sous le regard d’Alain, elle lui lèche le cul. Bernard se prête volontiers à cette caresse qu’il adore et que lui prodigue souvent ma sœur Agnès quand elle vient nous voir et participe à nos ébats. Mais pourvu que cela ne le fasse pas jouir trop vite ! J’ai envie de le sentir encore longtemps en moi. Soudain, je sens que Bernard se crispe et commence à débander. Que se passe-t-il encore ? Coup d’œil dans le miroir et surprise ! Martine s’est relevée et ...
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