1. La stagiaire imaginée (en partie)


    Datte: 15/12/2019, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail fépilée, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... piégé, et amoureux d’une jeunette suffisamment obsédée par la chose (ou amoureuse d’un "vieux" ?) pour accepter n’importe quoi de ma part, comment faire pour me sortir de là ? Ma journée passe en déplacements et je ne remets les pieds au bureau que le lendemain très tôt (ben oui c’est d’abord ça être patron : six heures du mat au taf !). Pas grand chose à faire, apparemment la journée de la veille n’as pas été chaude au bureau, côté boulot j’veux dire. Isabelle arrive à 8 heures, mes autres secrétaires une demi-heure plus tard, de quoi se motiver en l’attendant. Une tasse de café, une deuxième, rien de tel pour faire baisser la tension ! Il est 7 heures 50 quand elle se présente dans l’encadrement de la porte de mon bureau (je regarde l’heure défiler en permanence) : même tenue qu’hier, même posture les mains dans le dos et les pieds légèrement écartés. La lumière vive derrière elle me laisse deviner ses jambes au plus haut sous sa jupe fine. — Avancez jusqu’au bureau je vous prie ! Voilà que je joue au chef à nouveau, mais elle ne dit rien et avance de quelques pas jusqu’à environ deux mètres du bord de mon bureau, nos yeux ne se sont pas quittés. J’entreprends alors de la détailler "poste par poste", sein gauche, puis le droit, puis le haut de ses jambes, en revenant à ses yeux à chaque étape pour voir si elle réagit d’une quelconque façon : rien ! Même pas un frémissement d’une lèvre, même ses tétons ...
    ... sont calmes. — Bien, nous avons quelque chose à vérifier il me semble ? Là elle réagit, je la sens frissonner légèrement, ses tétons se manifestent enfin un peu. Mais elle ne prend aucune initiative. — Alors ? Vous renoncez ?— Jamais ! Sa réponse a fusé comme un cri, en même temps, sans que ses yeux ne s’abaissent, même une fraction de seconde, ses deux mains ont saisi les bords de sa jupe et la relève presque jusqu’au torse sublime, dévoilant enfin sa nudité complète et lisse comme je l’avais exigé la veille. Comme on dit dans certains livres je me retrouve interdit, mes yeux allant et venant de sa fine fente (elle est très étroite en plus) à son propre regard qui, lui, ne pas quitté un instant. Nous restons ainsi au moins dix minutes, sans un mot, l’atmosphère est chargée. Cette fois, pour ne pas lui sauter dessus, il va falloir que je trouve une idée de génie ? Juste un sursis : — Parfait, nous reprendrons cette conversation (laquelle ? Là je suis certain d’avoir dit cela, lamentable…) ce soir à 18 heures dans ce même bureau. Ben voilà je bande comme un taureau, et tout ce que je trouve à dire à cette fille offerte c’est "à ce soir" ; elle doit trouver que je manque d’imagination. Et elle a raison, j’ai encore une petite lueur qui s’allume à rouge et me dit qu’il ne faut pas tremper le biscuit. J’ai donc toute la journée pour trouver une idée, laquelle ne peut être qu’une exigence de plus, mais laquelle ??? 
«123»