Au bois
Datte: 15/12/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
copains,
grossexe,
groscul,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
fouetfesse,
nature,
... pour recevoir des bites, des bonnes grosses bites, pas vrai ? Elle me ramène à elle en un geste d’impatience — Oui c’est vrai, j’aime la bite ! Ça devient de plus en plus trivial. Elle m’électrise. Je me réintroduis en elle jusqu’à la garde. — Tu sens bien la mienne ? Est-ce que je te ramone comme tu veux, au moins ?— Oui, je sens bien ta queue !— Tu adores le sexe, hein ?— Depuis toujours. C’est vraiment bon !— Tu trouves souvent des partenaires ?— Quand je peux. J’ai besoin de sensations nouvelles. Tandis que nous baisons, elle se livre enfin, sans fard. Merveilleuse boulimique de sexe qui cache si bien son jeu, tu ne résistes pas au plaisir d’être possédée de toute ton âme et tout ton corps par la magie d’une pine qui la fouille sans relâche. J’accélère le rythme. Mes flancs claquent contre ses cuisses avec la sonorité bestiale des chairs qui s’entrechoquent. Nous avons atteint la vitesse de croisière et forniquons longtemps, nos corps à l’unisson. Son souffle s’accélère en un signe annonciateur. Elle appelle l’air comme si elle allait se noyer. Elle va jouir sans moi. Alors pour l’achever à mon tour, je la défonce comme un bélier, sans pitié. Elle fait un grand ô avec sa bouche, serre les poings et se cabre. Comme mue par une force invisible, elle se tend et, vaincue à son tour, elle explose de toute sa voix. Un cri de femelle sauvage. Elle reprend son souffle et ses esprits puis, sans daigner me regarder, se retourne et s’allonge sur le ventre. Je m’assoie à côté d’elle ...
... et ne peux m’empêcher de lui envoyer une vanne. — Tu sais, ce que j’ai fait, c’était juste pour te soulager. Tu te sens mieux ?— Je t’emmerde ! Je n’insiste pas. Une minute de silence s’impose. Elle est alanguie, les bras abandonnés le long du corps. Je n’ai rien d’autre à faire que de la contempler dans sa sensualité. J’observe ses épaules rondes et menues, sa taille fine, la courbe de ses hanches, généreuses juste comme il le faut, la cambrure de son dos et le galbe de son cul rebondi. Son corps et sa peau sont ceux d’une adolescente. — Quelle heure est-il ? me demande-t-elle d’une voix lointaine.— Il est cinq heures.— Merde, déjà ? Elle se redresse sur ses coudes et affiche une petite moue. — Il n’est pas si tard que ça, lui dis-je. Seulement quinze heures au soleil…— Je sais, merci. Je n’ai pas envie de partir tout de suite, en fait… Avec tes photos à la con, on ne peut pas dire qu’on ait vraiment profité du soleil ! Elle ne manque pas d’air, décidément. — Accorde-toi une heure. Je te foutrai une paix royale.— J’espère bien. Remets-moi un peu d’huile solaire.— À votre service, maîtresse. C’est pour moi une douce servitude. À nouveau je l’oins, côté verso cette fois, d’abord sur ses épaules et ses omoplates. Je la masse lentement, le plus délicatement possible, soucieux d’éviter désormais toute connotation sexuelle dans mes gestes. Me voici sur ses hanches, si douces, si souples. Maintenant les fesses. Sur chaque globe, j’appose un peu d’huile et les masse, d’abord sur les ...