1. Au bois


    Datte: 15/12/2019, Catégories: fh, fhh, inconnu, copains, grossexe, groscul, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, fouetfesse, nature,

    ... demande-t-elle d’une voix ingénue.— Je n’en sais rien, moi ! C’est un homme des bois, il a l’art de se confondre avec la nature. Pourquoi me demandes-tu ça ? Ça t’ennuierait qu’il te reluque ?— On ne fait rien de mal de toute façon. Je disais ça comme ça… Elle affecte l’innocence mais elle est visiblement émoustillée par la présence de ce beau mâle dans les parages. Elle ne songe d’ailleurs pas à se couvrir davantage. Quant à moi, ça ne me dérange pas outre mesure. De toute façon, elle préfère que je reste à côté d’elle. Curieusement, elle qui aspirait tant à profiter du soleil sans être importunée, elle me demande s’il reste encore de la pellicule. Encore trois satanées photos. — On les termine ? Tu ne m’as pas encore photographiée dans cette position et il ne verra pas mes fesses s’il revient. La voici redevenue bien mutine, tout à coup. Première photo. Allongée sur le ventre, en appui sur les coudes, le menton sur les mains, jambes serrées, un pied croisé sur l’autre. Classique, mignon. Plus que deux photos. Il ne faut pas les louper. Elle tourne le buste sur le côté, se redresse sur un coude, sa tête reposant sur une main, et écarte sa jambe libre. Ce faisant, la polissonne a encore fait glisser le tissu, dévoilant sa fesse droite dans toute son ampleur. Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès. Cette position particulièrement suggestive a l’avantage d’accentuer la cambrure de ses reins et de donner à ses fesses une rondeur callipyge. Elle renvoie un regard plein de ...
    ... promesses à l’objectif. — La Der des Ders, maintenant, lui dis-je d’un air inspiré. Tu vois ce que je veux dire ?— Tu veux que j’enlève le chemisier ?— Si tu n’y vois pas d’inconvénient.— Complètement ? J’acquiesce du regard. Elle tourne la tête à gauche et à droite et s’en débarrasse négligemment. La voilà à nouveau nue, la croupe exposée dans toute sa plénitude. Elle sait ce qu’elle fait, elle n’ignore pas que notre « ange gardien » n’est pas loin. Ses yeux virevoltent. Je ne sais exactement si elle attend ou si elle redoute qu’il la surprenne dans cette posture. — Prends ton temps, puisque c’est la dernière. Sa voix est oppressée. Je sais maintenant qu’elle l’attend. Elle porte son regard au loin, derrière mon épaule. J’ai un pressentiment et me retourne. Il est planqué derrière un arbre et nous observe, torse nu. Sans affolement apparent, elle garde la pose. C’est pour elle l’occasion ou jamais. Après cette dernière photo, elle n’aurait plus de prétexte. Elle ose et le fixe un instant, le regard brûlant. Elle a le feu aux joues, c’est la tempête dans sa tête, mais elle ne se démonte pas. Affectant l’indifférence à s’exhiber de la sorte, elle se jette dans le vide, assumant les conséquences de cette décision folle. Voudrait-elle reculer qu’il serait trop tard. Elle ira jusqu’au bout pour assouvir son désir. Le type s’avance à pas de loup et m’interroge d’un regard hésitant. D’un hochement de tête indifférent, je lui confirme que sa présence n’est pas franchement indésirable, ...
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