Au bois
Datte: 15/12/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
copains,
grossexe,
groscul,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
fouetfesse,
nature,
... lentement mais implacablement. Je suis maintenant à moitié dans son cul, sans qu’elle rechigne. Elle commence à découvrir cette sensation unique d’avoir une deuxième bite en elle et elle ne le regrette pas. Le demi-tour est proscrit, il est acquis que nous irons jusqu’au bout. Je m’enfonce encore dans le tunnel. Elle a mal, forcément, mais elle sait que cette douleur va bientôt se métamorphoser en un plaisir insensé. Alors dans un élan d’impatience, elle s’enfonce sans faillir sur ma queue. Elle a un cri de douleur et serre les dents, les yeux clos, attendant que l’orage passe. Nous ne bougeons plus. Elle rouvre les yeux et souffle comme après une course éperdue, la sueur au front. Son cul est en feu mais elle a dompté la matière. Je suis complètement en elle. Pour la première fois de sa vie, la voici empalée dans le con et dans le cul. Combien de femmes n’ont pas éprouvé ce désir secret et lancinant d’être ainsi possédée ? De se vouer au plaisir, sacrilège depuis la nuit des temps, de remplir leurs deux orifices à la fois ? Elle a franchi le pas, guidée naturellement par ses dispositions sexuelles à la faveur de la providence. Elle est solidement arrimée mais il faut que son trou du cul se dilate avant de commencer la chevauchée fantastique. Je la tiens par les épaules, lui par les hanches. Il n’est pas idiot, il sait qu’il ne doit pas bouger pour le moment. Du fond de son cul, je fais coulisser lentement ma queue en arrière, comme si j’allais la libérer, mais je m’arrête à ...
... mi-parcours. Je m’enfonce à nouveau, jusqu’au bout. Elle est encore étroite mais bien disposée. Je recommence la manœuvre plusieurs fois, en remontant à chaque fois un peu plus. Elle s’ouvre franchement, maintenant. Je coulisse dans son fourreau avec une relative aisance. Elle y met du sien, accompagnant le mouvement d’une petite ondulation du bassin. Je prends ses seins dans les mains et les caresse doucement. Ses tétons sont durs comme du bois. Elle a les yeux mi-clos et se laisse entraîner. Elle seule peut savoir ce qu’elle ressent, mais l’expérience n’est pas pour lui déplaire. Pour ma part, j’éprouve un plaisir particulier à être le premier à l’enculer de la sorte, apportant ma contribution à sa nouvelle découverte. — Tu aimes ? lui demandé-je. Elle opine en silence et ondule un peu plus d’avant en arrière, pas trop pour ne pas se désarçonner de l’autre bite. Épousant son rythme, je lime son cul plus amplement. Je coulisse maintenant sans résistance, son fourreau se détend. Je sors pour voir. Sa rondelle s’est dilatée, pas aussi ouverte que son vagin mais assez pour m’offrir l’entrée du tunnel sans péage. Je m’y engouffre à nouveau sans escale et je la ramone comme si je baisais sa chatte. Son cul chaud et souple devient chatte. Au tour de l’autre de reprendre du service. Il la lime à nouveau, doucement, en même temps que moi. Nos pines s’enfoncent en elle à tour de rôle. La tête en arrière, les yeux fermés pour mieux en ressentir la pénétration, elle se laisse envahir ...