1. Seules...


    Datte: 16/12/2019, Catégories: ff, douche, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme chaussures, intermast, rasage, Oral 69, fgode, fdanus, fsodo, jeu, champagne, uro, sm, attache, piquepince, orties, ecriv_f,

    Je ne sais pas combien de temps nous avons dormi, nous étions épuisées toutes les deux et les émotions vécues nécessitaient un repos salvateur. Anne me tira du sommeil en m’embrassant tendrement. Elle se leva et enleva son harnais, ses bracelets ainsi que son collier et gardant ses chaussures elle se dirigea vers le couloir pour revenir quelques instants plus tard en m’annonçant que la maison était déserte. Nous sortîmes sur le perron, ma voiture était garée dans la cour. Je proposais à mon amante de rentrer chez nous, ma curiosité de découvrir ces lieux étranges pouvait attendre et j’aspirais à un peu de tranquillité. Les clés étaient sur le tableau de bord, par contre le sac contenant des vêtements de rechange avait disparu. Un mot était glissé sous l’essuie glace. Je pouvais lire : « Je vous retrouve ce soir vers 23H, ne soyez pas sages… Marjorie ». Saisie d’un doute, je me dirigeais vers le portail pour vérifier qu’il était ouvert. Il était bel et bien fermé et la hauteur du mur interdisait toute tentative de sortie. J’informais mon amie que nous étions prisonnières et je dis à Anne qu’il y avait une douche au premier et des vêtements à disposition et nous montâmes. Arrivées dans la salle de bains, je me déshabillais, me débarrassant des dessous portant les traces de nos ébats. Par contre je ne pouvais ôter le collier métallique fermé par un petit cadenas. Qu’à cela ne tienne, je rejoignais Anne sous la douche chaude. Elle me savonna tendrement et nous nous enlaçâmes ...
    ... amoureusement. Ce moment de réconfort nous était nécessaire et sans un mot nous comprenions que nous avions vécu quelque chose qui nous rapprochait davantage. Une fois séchées, Anne me demanda si je n’avais pas vu une cuisine, elle mourait de faim, il est vrai que nous n’avions rien mangé depuis la veille. Uniquement vêtues de nos chaussures, nous commencions le tour de la maison à la recherche d’une cuisine ou de quelque chose d’équivalent et également de vêtements décents. Nous trouvâmes effectivement une cuisine et de quoi nous préparer un petit déjeuner solide. Nous terminions notre petit déjeuner et Anne prise d’un fou rire se retourna vers moi : — Je crois que c’est la seule pièce qui n’est pas munie d’instruments de plaisir !— C’est vrai, je crois que c’est une cuisine normale…— Quelle déception !— Tu es vraiment dépravée ma chère Anne !— Non, je suis simplement affamée, et je me sens même un peu cannibale !— Cannibale ?— Oui, j’ai faim de toi, je pourrais te croquer toute crue !— Toute crue ? Sans rien ? Même pas avec un petit accompagnement ? Et je me saisis du pot de confiture, et j’étalais avec mon doigt de la confiture sur ma bouche, mon cou, mes seins, mon ventre puis je me levais et me mis face à ma cannibale préférée. Anne me lécha consciencieusement ne laissant pas une trace sucrée sur mon corps. A mon grand étonnement elle en resta là et me proposa de visiter la maison. Une fois à l’étage, nous cherchions dans la chambre de quoi nous vêtir, et Anne ne tarda pas à ...
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