La jeunesse du Monstre
Datte: 16/12/2019,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Sexe Interracial,
... bâillonnée. Nos mains la projetèrent ensuite sur le bureau. Allongée sur le dos, elle essayait de nous reconnaître. Mais, nous nous étions affublés de masque de carnaval, qui rendait impossible notre identification. Les yeux exorbités, elle nous fixait en couinant comme une truie.-Qu’est ce que vous me faites les enfants? Vous vous croyez Mardi gras ? Lâchez moi maintenant, ça suffit…Evidemment, même dans cette position d’infériorité, elle se permettait de nous donner des ordres sur un ton ironique. Comme si elle nous sous-estimait. D’ailleurs ne venait elle pas à l’instant de nous rétrograder au stade d’enfants ? Il est vrai qu’avec notre taille de gamin et nos masques, le danger ne paraissait pas certain, et pourtant, elle se trompait la gourdasse…Aussitôt, nous nous mîmes à lui arracher frénétiquement ses vêtements. Les cris de protestation et le crissement du tissu que l’on déchire nous excitaient de plus en plus. Elle tenter d’échapper à notre étreinte mais nous la maintenions fermement sur son bureau. Bientôt, il ne restait plus que des lambeaux de sa jupe et de son chemisier cucul. Elle ne portait plus que ses souvêtements (slip, soutien-gorge et bas) et ses chaussures à talon.-Maintenez cette pute les gars, je vais finir la mise à l’air…Tout en parlant, je tirais brutalement sur son slip, dévoilant sa chatte brune et touffue.Immédiatement, toutes les mains disponibles vinrent au contact avec ce sexe. Nos doigts tiraient sur les poils, s’y enfouissaient, jouaient avec ...
... les lèvres… Le visage de la prof avait changé. Il était livide. Comme si elle comprenait enfin que les quatre mioches que nous étions allaient se la faire, la niquer, la baiser, elle, professeur… se faire sauter par ses élèves ! ! ! Pendant qu’elle réalisait ce qui lui arrivait, les bas furent arrachés, le soutien-gorge ôté. Seules ses chaussures l’habillaient. Elle était nue devant nous, le visage grimaçant de douleur car Karim la tenait par les cheveux, les seins en avant comme si elle voulait fuir ce bureau sur lequel elle était vautrée. J’attrapa à pleine main un de ses nichons, que je comprimai violemment. Elle ne put retenir un cri de douleur, qui ne fit qu’empirer les choses, puisque Raton lui attrapa l’autre sein et fit de même. Je tirais le mamelon à gauche et lui à droite, comme si on voulait les lui écarteler.-Je vais lui lécher la foufoune, écartez lui les pattes.Alain et Karim attrapèrent chacun un pied, obligeant Mlle Berne à faire un grand écart dévoilant ses larges lèvres cachés au fond de sa touffe noire. Je collai mon nez dans ce buisson odorant, reniflant pour la première fois les effluves épicées d’un sexe féminin. Ma langue s’enhardit dans le gouffre sacré. Je trouvai que le goût était dégueulasse, mais ça m’exciter de me voir en train d’enfoncer ma langue entre les cuisses de ma prof. C’était top. De temps en temps, je retirai ma tête pour lui faire un doigté . Quelle était grande sa chatte, un trou béant. Même si, à l’époque j’avais des petites mains, ...