1. Mathilde, ma belle-mère (1)


    Datte: 15/09/2017, Catégories: Mature, Inceste / Tabou

    Dans la grisaille de l'automne, le cortège funèbre avance lentement au gré des chevaux tirant le corbillard, une partie de ma vie partait vers sa dernière demeure. Mathilde, ma belle-mère qui m'avait tant donné. Une larme coulait discrètement sur mon visage, se mêlant au crachin de l'automne. Ma femme également triste marchait en pleur au pas tranquille des chevaux.Dans ma mémoire revinrent brusquement les moments de folie que nous avions vécus.Tout a commencé lors du bal des vendanges, mes parents avaient invité ma fiancée pour le repas de midi et ses parents pour les quatre-heures. Ensuite, entendant les flonflons de la musique champêtre, avec Lucette et sa famille, nous nous sommes déplacés sous le chapiteau où il y avait le bal.Après avoir tourbillonné comme des fous sur des airs de valse musette,C'est quand l'orchestre entama une série de slows que Lucette encore toute essoufflée par la valse me dit, lorsque je l'invitai, qu'elle préférait se reposer un peu. Mathilde, qui avait entendu sa réponse et dont le mari n'aimait pas danser, me dit alors :– Si vous m'invitiez, Victor, je suis prête à remplacer Lucette !Mathilde était une belle femme, rousse véritable avec une plastique parfaite, des seins ni trop gros, ni trop petit, une taille fine et des jambes qu'on avait envie d'en suivre le parcours. Mais c'est à ce moment-là qu'elle passa du stade de Belle-mère à celui de femme.Alors que nous nous dirigions vers la piste de danse, main dans la main pour ne pas être ...
    ... séparés, je lui demandai :– Voulez-vous vraiment remplacer Viviane ?– Mais, bien sûr. Ce sont des slows, nous allons pouvoir danser doucement, au milieu de tous ces gens. Que dis-je doucement, langoureusement, pourquoi pas ?Elle avait dit ça en riant, mais ce rire me parut un forcé.Dans la foule des danseurs, collés l'un contre l'autre, avec peu de place, elle dansait en plaçant ses mains autour de mon cou, appuyant sa poitrine sublime contre et mes mains étaient bien dans sa chute de reins, ses seins bien fermes contre mon torse .Je sentais sous mes doigts, le corps chaud de Mathilde collé contre le mien et la fragrance de son parfum naturel de rousse m'étourdissait, sa plastique parfaite de femme mure produisait sur moi un effet que je redoutais, surtout que nous étions très serrés par la foule des danseurs et que doucement elle frottait son ventre contre moi, ne me laissant pas indifférent.Dans mon oreille, elle me murmura en se déhanchant encore plus :- Victor ! Est-ce que je remplace bien ma fille?- Comment cela ?- Cette chose dure qui frappe régulièrement mon ventre, ce ne sont pas vos clés, dit-elle en descendant une main pour contrôler.Sa main parcourait lentement la longueur de mon sexe, créant encore plus un effet dévastateur au niveau de mon pantalon, à mon tour, je ne puis m'empêcher d'empaumer un de ses seins et étant hors de vue du reste de la famille, je me suis permis de l'embrasser sur la joue, mais elle tourna la tête en m'offrant ses lèvres, baiser qu'elle me ...
«1234»