Première randonnée
Datte: 17/12/2019,
Catégories:
fhh,
hbi,
couplus,
inconnu,
forêt,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
hdanus,
init,
Comme l’avait annoncé la météo, cette matinée de samedi est superbe. Dommage que ma copine ne puisse pas en profiter, mais puisqu’elle travaille… Et moi, ce n’est pas le moment de me laisser aller : la trentaine, encore mince, si je ne fais rien, je vais finir par prendre du ventre !! J’enfile rapidement un string, un pantalon léger et un t-shirt, prends le sac à dos préparé la veille et pars donc seul faire cette balade en montagne, bien décidé à profiter de cette journée. Et je ne le regrette pas : l’alpage que je traverse bientôt est vraiment sublime. Ces champs en fleurs, les oiseaux, la nature du printemps… un vrai bonheur. Sans compter ce petit vent chaud que je sens caresser mes fesses à travers mon pantalon, hummm. De quoi me donner assez courage pour marcher vers le col et ensuite attaquer l’ascension de la petite pointe qui est mon objectif du jour. Et si jusqu’à présent je n’ai rencontré personne sur le sentier, arrivé au col, un couple est là, jumelles à la main, en train d’observer en direction de la falaise. La quarantaine, sportifs, ils sont plutôt pas mal. Lui en tenue de montagne classique, elle, en petit pantacourt blanc moulant bien sympathique et en t-shirt, est séduisante. — Bonjour, qu’avez-vous donc vu?— Bonjour, il y a un bouquetin dans la falaise. Je sors à mon tour mes jumelles et bientôt j’aperçois également l’animal, un jeune bouquetin, en train de brouter. — D’habitude, il y a un troupeau plus important de l’autre côté de la pointe.— Oui c’est ...
... vrai, d’ailleurs nous pensons redescendre par là, ma femme et moi.— Eh bien si ça ne vous dérange pas, il semblerait que nous allons marcher un bout ensemble. La montée jusqu’au sommet est assez éprouvante, le sentier raide. Bien vite le t-shirt trempé me colle au dos ainsi que mon pantalon, que je sens plaqué sur mes fesses. Même mon string est humide de transpiration, mais le sentir ainsi moite sur mes couilles et ma raie ne m’est pas désagréable. Les rares mots échangés le sont pour signaler la présence d’un nouveau bouquetin, l’apparition d’une montagne ou du Mont-Blanc dans ce paysage qui ne cesse de changer devant nous au fur et à mesure que nous prenons de l’altitude. En plus d’être d’un physique agréable, mes compagnons semblent être des habitués de la montagne, ce qui ne les rend que plus sympathiques. Après trente minutes de montée, nous arrivons enfin au sommet, accueillis par un petit vent agréable. La vue est hélas masquée par des bandes de nuages sur la face nord, nous empêchant de voir la plaine. De l’autre côté, les chaînes de montagnes sont encore bien visibles, malgré les cumulus qui commencent à monter à l’assaut des plus hautes cimes. Nous sommes en nage, la montée nous ayant mis à rude épreuve. C’est elle qui, la première, enlève son sac à dos et se penche pour le poser par terre. Ainsi courbée en avant, son pantacourt moule superbement ses fesses et je ne peux détourner le regard de ce tissu fin sous lequel se devine le haut d’un string. Le triangle blanc ...