1. Candide


    Datte: 19/12/2019, Catégories: Masturbation

    ... moment maintenant.Dès ce soir-là, Claude entra dans notre chambre et commença le traitement sur Lili. Je regardais la télé dans le salon, entendant de temps en temps quelques cris et autres bruits évocateurs venant de notre nid d’amour. J’utilisai deux fois la pompe en les attendant puis je m’assoupis. Le lendemain, je me réveillai en entendant la douche couler. Lili sortit de la salle de bain, souriante et me rassura en me disant que tout allait bien. Je lui demandai quelques détails mais elle ne voulut rien ajouter. Je respectai sa discrétion en supposant qu’elle n’avait pas aimé cela du tout et qu’elle ne voulait pas m’inquiéter. J’ai quand même été surpris lorsque le soir venu, Claude et Lili s’isolèrent à nouveau pour continuer le traitement. Quelle conscience professionnelle de Claude et quelle abnégation pour Lili ! Les mots me manquèrent toute la semaine, pour définir ce que je ressentais. Le vendredi, Claude partit de bonne heure pour rentrer chez lui. Après une douche rapide, il me remercia de lui avoir permis de préparer Lili pour mon nouveau calibre, qui ne devrait plus tarder maintenant. Il me donna rendez-vous deux semaines plus tard, pour être sûr que son travail sur Lili avait été efficace. Je le remerciai chaudement en le racompagnant jusqu’à sa voiture !Lili dormait encore. Comme elle était désirable et excitante, à moitié nue sur les draps. Elle ne portait pas de culotte comme d’habitude et le soleil dessinait sur son corps des traits de lumière. Elle ...
    ... bougea légèrement et écarta inconsciemment les jambes. Je vis alors ébahi l’effet du traitement de Claude sur son anatomie. Probablement à cause du traitement, son sexe était totallement lisse, rasée de près, comme au premier jour. Mais, ce qui attirait l’œil était le trou béant que apparaissait entre ces jambes, là où je me souvenais de son vagin si étroit. Les lèvres de son sexe étaient engorgées et rouge vif. Son clitoris semblait chercher à se redresser, tel un petit pénis. J’avais l’impression que mon poing entier pouvait entrer sans problème dans cet orifice dilaté. Plus haut, les magnifiques obus de Lili étaient maintenant couronnés de deux pointes érigés en permanence, de la taille d’un phalange. Et, elle semblait détendue…Claude revint une autre semaine pour parfaire le traitement puis me dit enfin que le travail était terminé, qu’il avait élargi Lili autant qu’il pouvait et qu’elle n’avait plus besoin de lui. Je lui dis que, personnellement, mon sexe ne s’élargissait pas lui. " Pas de problème ", me dit-il, " je te laisse le matériel et si tu n’es pas satisfait, tu pourras te le faire rembourser : c’est cadeau pour m’avoir accueilli chez vous ". Je ne pouvais pas accepter et j’insistais pour le payer, même si je fus un peu surpris lorsqu’il m’annonça le prix de l’appareil. Je lui fis donc le chèque de 500 euros et le saluai une dernière fois. Que c’est bon d’avoir un tel ami ! Néanmoins, je ne savais pas que c’était la dernière fois que je le voyais…Finalement, les jours ...
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