Horticole toi-même
Datte: 19/12/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
hplusag,
fplusag,
fagée,
inconnu,
jardin,
fdomine,
Oral
pénétratio,
attache,
hff,
hsoumisaf,
... s’allonger sur l’herbe pour se caresser plus à son aise. Comme je la comprends, comme j’aimerais pouvoir en faire autant. Laurent, en revanche, ne résiste pas à l’envie de découvrir à quoi ressemble sa bienfaitrice. Levant la tête autant que sa position le lui permet, il découvre Ariane allongée à ses pieds, offerte. L’effet est immédiat. Sa queue se dresse à nouveau dans le vide et frémit au rythme de mouvements de la main d’Ariane. J’ai peur que le long gémissement qui s’échappe de ses lèvres ne lui porte le coup de grâce. Déjà, un violent orgasme secoue la femme dans tous les sens. Brave Laurent, qui arrive à garder contenance tout en se régalant du spectacle. S’il savait à quel point mon excitation s’apparente à la sienne… Je détourne les yeux pour éviter de céder à la tentation de m’allonger tout contre ma complice et de l’imiter. Je réalise alors que nos voisins ont fini leur bacchanale et que la place derrière le bosquet est libre. Il était temps. Je commence à détacher Laurent pendant qu’Ariane profite des dernières vagues de plaisir, les yeux mi-clos, la bouche ouverte, comme en attente d’un long baiser. Je propose à Laurent de lui offrir ce petit plaisir. Je dois cependant intervenir lorsqu’elle tente d’attirer son visage contre ses seins, son bassin collé contre le ventre de l’homme. oooOOOooo Putain, quel pied cette nana m’a fait prendre ! Quelle bouche, quelle langue, quelle technique ! À chaque coup de reins, j’avais l’impression de plonger dans de la lave en ...
... fusion. C’est mon corps entier qu’elle a excité en s’occupant juste d’un petit bout de moi. Si c’est comme ça que Geneviève entend me faire réaliser son fantasme, je suis preneur. Plutôt deux fois qu’une. Sauf que là, il semble y avoir changement de camp. Que peut-elle bien avoir derrière la tête ? J’aide Ariane à se relever avant de suivre Geneviève dans une autre partie du jardin. Je profite de ce qu’elle nous tourne le dos pour glisser mes mains sous la djellaba de ma bienfaitrice et caresser les pointes dressées de ses seins. Elle s’enroule immédiatement contre de moi, ses cuisses glissées de chaque côté de ma jambe. Elle me tend ses lèvres. Je plonge et l’embrasse comme un dément. Il faut que Geneviève monte sérieusement le ton pour que nous acceptions de nous séparer. Et maintenant ? Dans l’état dans lequel nous sommes, à quelle partie va-t-elle nous convier ? Nous nous retrouvons là où le quatuor s’ébattait tout à l’heure. La végétation est assez semblable au reste du jardin. Il y a en revanche un amusant lampadaire, alimenté en énergie solaire, et un meuble de jardin en forme de main. Ariane, en connaisseuse, va directement se lover dans le creux de la pièce de bois, prête à m’accueillir en elle. Il lui suffit de changer ses jambes de place pour offrir une autre manière de la pénétrer. Dans le même temps, tout le reste de son corps est accessible aux caresses. Qui a bien pu mettre au point un si fantastique instrument de jouissance ? Je comprends mieux les feulements et ...