La revanche de la dominée
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
fhhh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
hépilé,
fépilée,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
attache,
... signe à ses collègues, nouveau changement de position. Toujours enfichée à la garde par le fondement, n°2 attrape Ingrid par la pliure des jambes et la soulève sans peine. Pendant ce temps, n°1 se relève, prend une des jambes d’Ingrid par-dessus son épaule et la pénètre en latéral. N°3 vient le rejoindre, prend l’autre jambe sur son épaule et prend le même chemin que n°1 dans son sexe déjà pourtant bien occupé. Ingrid lâche un cri pendant cette intrusion double intrusion vaginale. — La vache Vincent ! Tu te rends compte, j’ai deux bites de cheval dans la chatte. Ils sont en train de me fendre en deux mes gaillards. Et je peux t’assurer qu’elles sont raides, je les sens bien en moi, ils se cognent, ça me donne des coups de décharge partout en moi. Vincent n’en croit pas ses yeux. Son Ingrid se fait labourer par trois baobabs qui la prennent à cru, sans protection. Dans toute cette débauche, il est le seul, lui le régulier, le légitime partenaire d’Ingrid depuis quinze ans, à porter un préservatif. Et pourtant, il ne participe pas activement à cette folie. Il aimerait pouvoir jouir, mais ce foutu préservatif le protégeant même des courants d’air, rien ne lui permet d’avoir l’infime stimulation mécanique qui lui permettrait d’exploser. Ingrid et ses partenaires n’en peuvent plus. Ça grogne, ça couine, ça gémi et enfin, comment est-ce possible, ils jouissent tous les quatre à l’unisson, inondant Ingrid de trois abondantes semences différentes. Redéposant Ingrid au sol, ils se ...
... retirent de son corps et sortent de la pièce un à un, en passant devant Vincent. N°2, ayant profité du fondement d’Ingrid, lâche même à Vincent en passant : — Ta femme est une sacrée baiseuse, et son cul est d’enfer. Faudra revenir, j’ai bien envie de lui défoncer encore. Piteux, mais désirant aller jusqu’au bout de l’expérience, Vincent reste là, à genou, le sexe douloureux, tendu comme jamais, gorgé à n’en plus pouvoir, et regarde Ingrid s’approcher de lui. — Alors, tu n’as pas encore joui ? Moi, comme tu as vu, ç’a été d’enfer. Tiens, allez, je suis bonne avec toi, nettoie-moi avec ta langue, ça t’aidera peut-être à te soulager. Enfin un contact. Peu importe cette forte odeur du sperme des autres qu’il voit s’échapper de sa femme par tous ses orifices. Vincent peut enfin goûter à ce sexe devenu si doux, y plonger sa langue et tenter d’effacer les traces des outrages qu’elle vient de subir. Occupé à laper cette laitance, son sexe peut enfin exploser et son préservatif se remplir d’un liquide bouillant. Ingrid lui attrape alors le membre, retire un peu le préservatif pour agrandir de réservoir et finit de « traire » son homme. Une fois les dernières gouttes recueillies, elle retire le latex qu’elle noue soigneusement. L’hôtesse lui tend une sorte de petit réceptacle en verre en forme de carafe très étroite, dans lequel Ingrid insère le préservatif, et le rebouche hermétiquement. — Voilà mon chéri. Ce sera ton souvenir de la soirée. Cette urne contient ta première éjaculation ...