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Un réveillon très révélateur (1)
Datte: 20/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe
Véronique a 45 ans et elle est ma femme depuis vingt ans. Elle a des cheveux châtains avec des reflets roux naturels et des yeux verts. Elle est relativement grande pour une femme, assez fine même si la nature l’a généreusement dotée au niveau de la poitrine et des fesses. Malgré ses deux grossesses, elle conserve un ventre bien plat. D’une manière générale, elle fait très attention à elle et, par voie de conséquence, à moi en nous imposant une hygiène de vie saine qui ne m’empêche cependant pas de continuer à fumer… Moi, Olivier, j’ai 48 ans, je suis plus grand que la moyenne, j’ai les cheveux bruns, un corps robuste et un ventre encore assez plat en comparaison de beaucoup de mes collègues. D’un point de vue strictement anatomique, je sais que mon sexe, sans être petit, est plutôt en dessous de la moyenne mais je n’en suis pas complexé car ça ne nous a jamais gêné dans nos rapports. Il m’arrive même d’en plaisanter, lorsqu’en été, ma chérie détaille les anatomies masculines sur les plages naturistes que l’on fréquente. Cette année, Véronique et moi, on n’était pas super motivés pour organiser une grosse fête de nouvel an comme nous en avons l’habitude. Bien souvent, nous nous sommes retrouvés à 20 ou 30 à la maison et ça n’a jamais posé aucun problème car il y a largement la place. Mais, à l’approche des fêtes, une sorte de vent de lassitude nous a touché, nous et nos amis. Sans doute est-ce dû en partie à l’âge, pas que l’on soit vieux, bien sûr, mais juste parce qu’on ...
... arrive à un tournant de la vie où on aspire à des soirées plus calmes et plus intimes. En discutant avec Katia et Patrick, des amis très proches que l’on connaît depuis près de vingt ans, j’avais exprimé mon sentiment et ils avaient confirmé le partager. — En fait, je crois que j’en ai un peu assez de faire la bise à minuit, au beau milieu de la cuisine, à des gens que je ne vois qu’une fois par an pour le réveillon. Cette année, j’ai envie d’autre chose. — Je te comprends, m’a répondu Katia. C’est exactement ce qu’on se disait nous aussi. En plus, avec tout ce qui se passe partout, les attentats, les élections et tout le reste… — Ça n’empêche quand même pas de se faire une petite soirée entre nous, bien tranquille. Nous étions donc d’accord pour fêter le passage à la nouvelle année ensemble et avec un ou deux autres couples d’amis très proches. Quelques jours plus tard nous étions invités par Marie et Jocelyn, des amis communs qui s’étaient « exilés » dans l’extrême sud de la banlieue parisienne. Ils prévoyaient une soirée tranquille à six ou huit dans leur nouvelle maison fraichement rénovée. C’est la curiosité qui nous a motivé d’abord car, avec Véro, on n’avait pas bien compris ce qui les avait motivés à partir si loin dans une vielle ferme à moitié en ruine à la limite de la Beauce. Ensuite et surtout, bien entendu, nous étions contents de les revoir. Plus les jours passaient et plus nous étions content d’aller à cette soirée même si nous ne savions pas comment elle ...