1. Deux femmes (1)


    Datte: 15/09/2017, Catégories: Lesbienne

    Elles sont nues. Intégralement nues. Toutes les deux, ensemble, et c’est la première fois. Aussi belles l’une que l’autre, dans la force de leurs 18 ans. Élisabeth, la blonde aux cheveux longs, seins ronds et petit cul de rêve, a une chatte toute rasée, avec des lèvres fines, et une fente très longue. Isabelle elle, est une brune aux cheveux bouclés, un peu plus petite, bouche pulpeuse et petits seins en forme de poire, et elle aussi un fessier qui appelle à la luxure... à son minou elle a laissé un petit triangle de poils fins et bouclés, et si ses lèvres sont épaisses et bombées, sa fente est toute petite. Si Élisabeth ne compte plus ses aventures masculines, Isabelle par contre n’a que très peu d’expérience : une seule étreinte, rapide, avec un adolescent de son âge plus avide de son propre plaisir que de lui en donner. Mais, pour toutes deux, c’est la première fois qu’elles se retrouvent nues, devant une autre femme... Elles se connaissent depuis leur plus tendre enfance, elles ont toujours tout partagé, et aujourd’hui elles vont partager cette première expérience saphique. Mais elles sont un peu empruntées, l’une devant l’autre... Sans doute un peu moins timide, Élisabeth tend la main vers Isabelle... sa belle main aux longs doigts fins vient caresser le visage de son amie, doucement, tendrement... et elle s’approche d’elle. Sa bouche chaude est sur son front, descend sur ses paupières, glisse le long des ailes nasales et se retrouve à la commissure des lèvres ...
    ... d’Isabelle. Elle sent que cette dernière les écarte légèrement, alors elle se rapproche de leur centre et l’embrasse délicatement. Plusieurs petits baisers, auxquels Isabelle finit par répondre, elle aussi. Petit à petit les lèvres deviennent plus hardies, s’entrouvrent, laissent passer des langues qui vont chacune à la conquête de la bouche de l’autre... sensuel ballet de douceur où les salives se mêlent. Tout en s’embrassant, les corps se sont rapprochés, les seins érectiles se touchent et les petites framboises, rouges et dressées, se frottent avec frénésie. Leurs chattes aussi sont au contact l’une de l’autre, et elles ondulent toutes les deux du bassin, mélangeant leur cyprine. Quand les premiers gémissements de plaisir se font entendre, Élisabeth relâche son étreinte et prend Isabelle par la main, la conduisant vers le grand lit. Elle l’allonge, et s’étend sur elle, mêlant ainsi encore plus intimement la cyprine de chacune de plus en plus abondante. Et puis Élisabeth glisse sur le corps qui se tend, embrasse au passage les jolies poires qui pointent, caresse le ventre plat et termine sa course sur le minou de son amante. Elle lui fait écarter les cuisses, et sa bouche vorace part à la conquête des parois vaginales. Isabelle a ouvert grand ses cuisses, et dans un abandon total elle s’offre aux caresses d’Élisabeth et son corps connaît enfin un plaisir que jusque-là elle seule avait su se procurer, mais à une échelle moindre. Là elle a maintenant l’impression de découvrir le ...
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