Les têtons de Nathalie
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... homme mais souhaitait continuer nos jeux. Ce n'est que quatre mois plus tard que j'eus quelques explications. Ce jour là, Nathalie m'avait appelé de la maternité. Nous n'utilisions jamais le téléphone, et d'ailleurs je ne connaissais ni son nom de famille, ni son numéro. D'un ton implorant mais ferme, elle me demandait de lui rendre visite dès que possible. Intrigué par cette demande, je fus à la maternité en fin d'après midi. je la trouvai allongée dans son lit, son bébé à côté d'elle. « C'est une petite fille, dit-elle. Catherine. - Elle est belle, dis-je en la regardant. - Ma mère va quand-même venir me voir. Elle est furieuse : nous avions convenu que j'accoucherais sous X. Il n'y a pas de fille-mère dans notre famille respectable, vois-tu? Elle m'a amené ici ce matin, et je ne suis pas prêt d'oublier son regard noir quand j'ai naturellement décliné mon identité. On frappa à la porte. - C'est grâce à toi que j'ai compris que je ne devais pas priver cet enfant d'un sein maternel. Une dame agée entra. - Maman, je te présente Paul... Elle s'interrompit. J'ignore encore d'où me vint cette ...
... inspiration mais, le plus naturellement du monde, je poursuivi : - Je suis le père de cette petite fille. - Enchantée de faire votre connaissance. » La mère de Nathalie complimenta sa fille, et la discussion se poursuivi le plus naturellement du monde comme entre une mère et sa fille qui vient d'accoucher. En partant, elle m'adressa à nouveau la parole : « Vous avez donné à Nathalie une ravissante petite fille. Cependant, chez nous il est d'usage de se marier avant d'avoir des enfants. » Lorsque nous fûmes à nouveau seul, Nathalie fondit en larmes et me remercia du fond du cœur. Sa grossesse avait du avoir une origine particulièrement douloureuse parce que, alors que j'essayai d'en savoir plus, j'obtins pour seule réponse que si c'était par conviction religieuse qu'elle n'avait pas avorté, c'était moi qui lui avait donné la force de ne pas abandonner son bébé. Nous n'avons jamais plus évoqué le sujet. Nous nous mariâmes un mois plus tard. Nous avons maintenant trois enfants et bien sûr, chaque lundi soir, quand ils sont couchés, mon fouet trace cinq fines zébrures sur les têtons de Nathalie.