COLLECTION HOMME FEMME. Les Caddys (1/2)
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... contrôles, je suis en eau sous mon chemisier blanc. Je sens les yeux de Ludo de plus en plus insistant m’interpellant, garçon de vingt-cinq à trente ans, aux cheveux bruns tombant sur ses épaules d’un mètre quatre-vingt environ aux yeux noisette et à la musculature saillante sous son marcel, m’interroge surtout lorsque Hugo son copain beau blond en tee-shirt écru a le même regard en me descendant une série de Caddys. Ils sont au milieu du camion lorsque je les entends rigoler, lorsqu’ils descendent poussant une série, c’est vers ma poitrine qu’ils regardent. Je baisse la tête et j’aperçois, mes aréoles bien marquées, le tissu étant devenu entièrement transparent à cause de la sueur, mon premier réflexe est de me cacher les seins avec mon bras. • Véronique laisse les biens apparents, cela nous donne du cœur à l’ouvrage, regarde, nous avons déjà une demi-heure d’avance sur le temps que nous avions calculé pour tout mettre en place. Je dois reconnaître que ces deux beaux garçons sont fortement à mon goût depuis le départ de Sissy et de Frédéric pour les États-Unis ouvrir une pizzeria à Manhattan, il y a deux mois. Deux mois que ma chatte est vierge de toute sollicitation, car le couple était seuls à profiter de mes seins qui semblent impatients de prendre l’air. C’est grâce à Sissy que notre relation a commencée. Nous étions avec trois copines dans la boîte la plus proche d’Ozoir-la-Ferrière, à fêter la fin de la vie de jeune fille de Lucia qui allait convoler avec Éric en ...
... justes noces deux semaines plus tard. Cette boîte proche des gens de cinquante ans gardait la vieille formule, danse moderne par séries de trois et danse douce par le même nombre. • Tu danses ma belle. C’est par ces mots que Sissy m’a interpellé tout en me prenant la main m’entraînant sur la piste poitrine contre poitrine. Le courant électrique passant entre nous dès le premier contact m’avait évité de me poser la moindre question sur l’invitation de cette fille belle comme une déesse de la mythologie. Ces longs cheveux blonds descendant jusqu’à ses reins, qu’elle tenait serrée par un ruban rouge soulignant le blanc de la peau de son cou a enlevé en moi toute trace de scrupule de frotter nos seins et nos pubis. Nous aurions été dans un endroit plus intime, je pense que nous serions embrassés devant son mari qui semblait aimer voir sa femme me draguer. Deux séries de slows et ils m’ont entraîné vers leur nid qui est devenu l’un de nos deux nids, car nous vivions tantôt chez les uns tantôt chez les autres. • As-tu déjà fait l’amour avec une femme. • Non. • Veux-tu que je t’apprenne. • Oui, et ton homme ? • Johnny, acceptes-tu qu’il nous rejoigne. • Peut-être, on verra. J’étais assise entre deux chaises, la queue des hommes, j’aimais beaucoup, j’étais loin d’être pucelle, j’avais connu le sexe de plusieurs hommes dont la queue du frère de mon beau-père qui m’avait dépucelé dès que j’ai eu l’âge pour ces jeux. Faire l’amour avec Sissy, je pouvais après Albert, Lorette m’avait appris ...