1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1113)


    Datte: 15/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... samedi laissait aussi supposer cela. Le Majordome savait comment faire pour jauger ce Patrick, un test mis en place depuis longtemps par Monsieur le Marquis permettait cela. Walter pris la parole : - Vous souhaitez boire quelque chose ? Nous avons dans le Château, Marie qui est notre Gouvernante, c’est aussi une cuisinière hors norme et je peux lui demander qu’elle vous prépare quelque chose. - Oui bien volontiers, mais je voudrais d’abord téléphoner, s’il vous plait. - Il faudra demander cela à Monsieur le Marquis, lui seul pourra vous y autoriser. (puis d’une voix fort, il appela) Marie ! Marie ou est-tu ? Patrick trouvait cela étonnant qu’à notre époque, l’on devait demander la permission pour téléphoner. Ce n’est quand même pas complique de prendre un combiné et de faire un numéro. C’est alors qu’il aperçut dans un coin de la pièce un téléphone posé sur un luxueux guéridon Louis XV. Il s’avança alors vers lui et dit à Walter : - Oh, il y a un appareil là, pas la peine de déranger Monsieur le Marquis, je vais faire le numéro. A peine s’était-il saisit de celui-ci que le Majordome rugit : - Espèce de chien, comment te comportes tu ? Qui t’a donné la permission d’agir ainsi ? Tu te crois ou ? Chez toi ! Le Majordome fit alors claquer le fouet surprenant Patrick par sa violence soudaine. - Je vais te punir pour cela, tu entends ! Tu sais comment je traite les mâles qui ne respectent rien ? J’en fais des lopettes, des chiennes bonnes à rejoindre le Cheptel de Monsieur le ...
    ... Marquis : A poil salope ! Obéis de suite ou tu vas gouter de mon fouet. Patrick ne savait que faire. Il se sentait à la merci de cet homme et il ne saurait l’expliquer, il se sentait tout bizarre car au lieu de tenter de se révolter, de crier plus fort que ce domestique, il était impressionné et préféra faire profil bas car que pouvait-il faire face à ce fouet ? Oui il se sentait tout bizarre car il se surprit lui-même comme si cette situation soudaine, l’excitait dans son esprit… C’est alors qu’une porte s’ouvrit, un homme de grande taille entra dans la pièce à son attitude Patrick comprit que Monsieur le Marquis d’Evans venait de les rejoindre : - Que se passe-t-il ici ? Pourquoi parle t’on si fort ? (Patrick pris la parole) : - Bonjour, c’est n’importe quoi ? je … (Le fouet claqua de nouveau et Walter dit alors) : - Chien à genoux devant Monsieur le Marquis, tu attends d’y être invité avant de parler. Patrick se surprit alors d’obéir, comme précédemment il se surprit de cette excitation subite à laquelle il ne peut expliquer. Alors, c’est tremblant, comme hypnotisé qu’il posa ses deux genoux à même le sol et surtout il baissa aussi la tête instinctivement sans comprendre le sens de son geste, mais il éprouvait le besoin de la baisser comme aussi de baiser les yeux. Monsieur le Marquis sourit alors au Majordome. Ce signe d’obéissance naturelle ne trompait pas, c’était un marqueur qu’il connaissait bien, Patrick était donc d’une nature soumise sans même qu’il le sache lui-même. ...