TABLE DE SAPIN 8
Datte: 23/12/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... cueillette, je me suis autorisé à admirer sa poitrine. Je me suis dis qu’il était impossible qu’elle ne se rende pas compte de la vision qu’elle m’offrait. - Bon je crois que j’en es assez là. Me fit-elle. Je n’étais pas mécontent de m’arrêter là. La cueillette sa va un temps ! - Je te propose de prendre un verre ? Lui proposais-je, une fois poser mes pieds sur le plancher des vaches. - Ici ? Chez tes beaux-parents ? Répondit-elle. - Oui… Où veux-tu ailleurs. On n’est pas bien ici ? - Oui, bien sûr. - Tu préfères à l’intérieur où sur la terrasse ? - J’n’aime pas les mouches, me fit-elle. - Alors allons à l’intérieur. À peine franchis la porte de l’entrée, je me suis occupé du service. - Qu’il fait chaud ! Dit-elle. - C’est toi qui a voulu quand ce mette à l’intérieur. - Oui, et je persiste, les mouches. Par contre cela te dérange que je me m’êtes à mon aise ? - Fais donc. Répondais-je en quittant la pièce pour aller chercher une bouteille de cidre dans la cave. À mon retour je l’ai trouvé près de la cheminée en soutien-gorge. - Et bien, en voilà une tenue. - Cela te dérange ? Je peux remettre ma veste. - Non, non, au contraire, j‘adore. Et que dire des deux petits buissons que tu as sous les bras. - Tu me fais honte, là ! Pour une coiffeuse, ça la fou mal ! - Une espèce de jachère féminine, non ? - Je me suis entendu dire que tu aimais les poils. C’est vrai ou c’est faux ? - Oui parfaitement, ton informatrice t‘as bien renseigner. Je devine de qui il s‘agit ! Tu ne vas pas ...
... me dire que c’est pour cela que tu ne t’ai pas raser, dernièrement. Rassure-moi ? - Vas savoir ! Peut-être que oui, peut-être que non… fit-elle en riant bêtement. Je me suis alors approché, à la toucher. - J’en meurs d’envie d’y plonger mon nez. Fis-je en lui désignant du doigt son aisselle. Je peux ? - A ta guise ? Et j’ai posé mon nez au-dessus de son aisselle buissonneux. Humant bruyamment ce qui s’en dégagé. Elle a patienté que je me redresse pour enfin me questionner : - Alors ? Conclusion ? Me fit-elle. - Qu’un mot… - Oui ! Lequel ? - Excitant. Le pied… Elle m’a regardé, d’un regard gourmand. - Tu sais. Me chuchota-t-elle d’une voix si basse que j’avais l’impression d’avoir la tête dans du coton. Là aussi, j‘ai du poil… ! M’indiquant de l’index le centre de son corps. J’ai cru dans un premier temps, qu’elle plaisantait. - On parle bien de la même chose, là ? - Bien sûr ! Enfin je crois. Répondit-elle. - De ta chatte… - Alors nous parlons de la même chose. - M’invites-tu là à faire connaissance avec elle ? - Pourquoi pas, si le cœur d’en dit ! Fit-elle. D’un ton qui ne souffrait pas que je refuse. Elle a agrippé le bas de sa jupe et la rabattue au-dessus de ses reins. Battant des paupières, tout en rougissant comme une collégienne. En dessous elle portait un slip de couleur vert assortie au soutien-gorge. - Alors… qu’attends-tu ? Tu ne vois donc pas que j’ai les mains occupées. Je me suis approché, alors qu‘elle prenait appuie sur la table de sapin. J’ai passé mes pouces ...