L'homme de la piscine
Datte: 23/12/2019,
Catégories:
hh,
occasion,
Gay
J’ai 60 ans, une grande expérience professionnelle, et mon cher patron a su trouver les mots pour me faire accepter cette mission de la plus haute importance : rétablir une situation désastreuse avec un de nos plus gros clients. Me voilà donc sur la route de Bordeaux ; heureusement, la circulation est plutôt fluide en ce début du mois de juin. 17 h 30 ; je passe le pont d’Aquitaine, direction Mérignac où se trouve mon hôtel. Le thermomètre de ma voiture indique 30° ; j’ai hâte d’arriver, de prendre une bonne douche. Hélas, c’est l’heure de pointe : la rocade est surchargée et les derniers kilomètres sont difficiles. Enfin je gare ma voiture. Quand j’ouvre ma portière, la différence de température me surprend ; j’ai l’impression de me retrouver dans une étuve. Je sors mes bagages du coffre et je me dirige vers la réception. Super ! L’hôtel a une piscine, mais je me fais la réflexion que je n’ai pas emmené de maillot. Quel couillon ! La chambre est confortable, et fraîche surtout. Je me déshabille pour me mettre à l’aise ; me voilà vêtu simplement d’un slip noir. Je me dis que ce sous-vêtement pourrait très bien passer pour un maillot de bain. Je suis quand même hésitant car, une fois mouillé, il risque de bien marquer mon anatomie. Mais bien que je ne sois absolument pas exhibitionniste, je ne sais pas pourquoi j’ai envie de me lancer ce défi. Je pense en souriant que si le slip humide marque un peu trop mon sexe, ça ne va pas affoler les foules : j’ai ce qu’on appelle une ...
... passe-partout. J’avais eu la présence d’esprit d’emporter un short. Je me dirige vers la piscine. Il n’y a que quatre personnes qui se baignent, ou plutôt trois : un couple avec un bébé, et un homme qui est en train de discuter au téléphone en marchant sur le bord. Je salue tout le monde, et discrètement je retire mon short. Je rentre dans l’eau. Un vrai bonheur : elle est chaude. Je fais quelques longueurs, mais je suis vite fatigué. Je m’arrête de nager et je souffle un peu, en profitant pour observer autour de moi. La petite famille s’apprête à partir. J’observe l’homme qui est toujours en conversation téléphonique ; il doit avoir une quarantaine d’années, plutôt bel homme, pas du tout poilu. Il doit mesurer 1,80 m environ, un corps bien proportionné, un tout petit ventre, mais malgré tout assez musclé, cheveux bruns coupés court. Il doit pratiquer du sport régulièrement. Il porte un grand short de bain bleu ; je ne peux pas voir la couleur de ses yeux car il porte des lunettes de soleil. Vous allez vous demander pourquoi j’observe cet homme ; en fait, depuis peu de temps j’ai tenté l’amour au masculin, j’ai goûté aux joies de la bisexualité. J’avais ça en moi depuis l’adolescence sans jamais avoir osé passer le pas, puis je suis tombé un jour sur un complice formidable, patient, compréhensif, qui m’a fait découvrir ça. Voilà pourquoi maintenant j’apprécie autant de regarder une belle femme qu’un homme : mes fantasmes vont tout aussi bien sur l’un que sur l’autre. L’homme a ...