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Délires lubriques assumés et jousissif
Datte: 24/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... temps » Ok, 3 sur 4 ce n’est pas si mal, je m’en sors bien, et Marie ma énormément surpris jusqu’ici. Je suis content. « Celle qui a un shorty rouge en dentelle en main, va me le rendre et sera la grande gagnant de la soirée, elle devra jouir après tout le monde et mener chaque personne à la jouissance. Si elle n’est pas ache elle devra se faire jouir, seule avec ses doigts devant les autres, clair ? » Je vois Assya se pencher et sortir le bras avec le shorty rouge, et dire, tu vas morfler avec un sourire en coin. Je rends le shorty à marie, et lui signale qu’elle peut se rhabiller et que je la retrouve devant la cabine. « OK, reposez-vous, ou faite ce que vous voulez, je reviens dans 3 minutes. » Je rejoins Marie, l’embrasse a plein bouche, passe ma main sous sa jupe et fouille sa chatte, elle est trempée « ca ne t’a pas laissé de marbre en tout cas » « je ne pensais jamais prendre autant de bien à m’offrir aveuglément », si nous n’étions que tous les deux je n’aurais que très peu de limite je crois, je ne me suis pas reconnue » Je l’embrasse et lui dit que sous peu elle aura de mes nouvelles. Elle se retourne, heureuse et en même temps soucieuse, et s’en va. Revenant devant les vitres, je vois Assya assise, pensive, Isabelle assise et sa main qui se balade sur les seins, et Julie, s’est carrément enfoncé le tanga d’Isabelle dans la chatte et se doigte violemment, en se triturant les seins puis elle ressort le Tanga et le met tout entier dans bouche et semble vouloir ...
... aspirer tout ce qui peut en sortir. « Quelle salope, on la laisse deux minutes et on la retrouve un Tange, pas à elle, dans la chatte et elle finit par le sucer » Assya fait mine de ne pas réagir, Isabelle prend la parole : « je ne sais pas comment tu fais, mais je me sens chienne au possible, t’arrête pas là » « OK comment imagine tu la femme a ta droite, elle vient de s’enfiler ton tanga dans la chatte et dans la bouche, t’en penses quoi » « Je pense qu’il s’agit d’une jeune salope affamée de sexe qui n’a aucune limite, elle ne doit penser qu’à ça, quelqu’un de superficiel et qui base tout sur le physique » Julie, est vexée, et un peu énervée, car il est vrai que Julie est quelqu’un de cultivé, juste très très ouvert sexuellement sans limite morale. J’interpelle Julie, et lui demande qu’elle décrive comment elle imagine la femme qui portait ce Tanga, qui au passage est la personne qui vient de s’exprimer Julie, la vois très froide : « cette femme est une cougar, qui est mal baisée par son mari, a divorcé car il ne elle ne lui apportait rien, et il l’a trompée, aujourd’hui elle sait qu’elle a sa part de responsabilités dans l’échec de son mariage et elle rattrape le temps perdu et n’a plus aucune limites, le sexe est devenu contrairement à avant, une des choses les plus importante de sa vie. » Isabelle, se sent mal, Julie, la femme superficielle venait de tirer son portrait sans même la connaître, pas si bête que ça. Assya, elle écoute, assise, lascive, on dirait qu’elle n’est pas ...