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Education sentimentale (1)
Datte: 24/12/2019, Catégories: Lesbienne
... sexe et m’étend sur sa couche. Elle en épile brutalement le léger duvet à la cire froide, qu’elle a préparée tout exprès. La douleur s’ajoute à la volupté. Elle m’enduit d’un baume calmant puis ses doigts dérapent vers mon clitoris qui se dresse. Je suis en émoi. Elle me demande de la caresser et guide mes gestes tout en étrillant tout mon corps au passage. Mes paumes malaxent ses seins et ses fesses, caressent son dos et ses jambes. Son visage est étreint et embrassé. Elle saisit mes doigts dans sa bouche et les détrempe de salive puis les guide en sa vulve et ses fesses. Elle se tord de plaisir et trempe ses mains de mouille avant de pénétrer mon cul... Honteux extase ! vxcvrrgi Lorsque les cours reprennent, l’enseignante se fait plus distante mais continue à m’encourager. Le samedi, nous nous donnons rendez-vous en cachette le long du canal. Nous nous caressons à l’abri des roseaux ou à son domicile. Plusieurs fois nous avons failli être découvertes ce qui ajoute beaucoup à l’excitation du moment. Nos cachettes au sein de la roselière furent souvent violées sans succès. Un jour, une de mes condisciples pénétra plus loin dans le bosquet au point que j’aperçus son visage. Pourtant elle ne vit rien, ou ne voulut rien voir, ni dire. A cet instant mon dos se cabra et mon entrejambe devint humide alors que mon souffle devenait court et ma poitrine oppressée. Mes seins se dressèrent et ma compagne entreprit de me faire jouir. Elle finit de me dénuder et caressa mes zones ...
... érogènes. L’insécurité de notre abri et le risque d’être découverte totalement nue en une posture indécente me procura un plaisir jamais atteint depuis. Depuis nous affectionnions les tenues courtes et qui dévoilent largement nos poitrines. Les hommes se retournaient sur notre passage. Nous ne portions plus de sous-vêtements les jours où nous nous rencontrions. L’absence de pilosité renforce la sensation de nudité. Nos corps étaient excités et en demande de caresses. Je me sentais sans voile, exposée au regard de tous et désirable. J’aimais à nouveau mon corps, mon amante l’entourant de soins exclusifs. En TD elle ne cesse de me favoriser et je suis toujours la meilleure d’après elle. Je le lui rendais bien en respectant scrupuleusement toutes ses consignes. Parfois mon cerveau s’embrumait et le désir m’envahissait. Je soulageais discrètement mon sexe. Le plus souvent je m’appliquais pleine d’affection pour elle. J’avais découvert l’amour. Ainsi, belle Élodie, tu n’es pas la première ! Sans cette adorable doctorante je n’aurais sans doute jamais été sensible à tes charmes et connu ce bonheur présent. Je ne t’ai rien raconté. Je préfère que tu penses m’avoir initiée et soustraite au monde, si cruel, des mâles dominants. Je te laisse croire que mon exhibitionnisme est le fruit de ton seul désir. Quand je te regarde, confortablement installée dans ton fauteuil, je t’imagine uniquement revêtue de sa nuisette transparente, les seins dressés et la chatte épilée, comme elle. Cela te va ...