LE VOISIN 6
Datte: 25/12/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... en se coinçant juste entre elle et moi. Ma femme était dans tous ses états, elle tenait à peine sur ses jambes frémissantes, heureusement que je la maintenais pendant qu’il commençait à la faire sombrer dans la perversion, à cet instant j’éprouvais encore cette forme de jalousie, cette peur inexpliquée de voir basculer la femme de ma vie dans les bras de ce type alors même que c’était moi qui la lui offrait. Mais au-delà de cette contradiction qu’encore aujourd’hui je n’arrive pas à m’expliquer, l’excitation étant toujours plus forte que la peur, la monté de mon plaisir étant proportionnelle à celui que subit ma femme. Je me régale de ressentir le moindre frémissement de peau de ma belle, le moindre petit frisson parcourant ses membres crispés par la monté de cette chaleur voluptueuse dans ses veines, oui, je m’enrichi de sentir qu’elle prend du plaisir, quelle se laisse aller à consommer du plaisir et encore du plaisir. Je comprends de mieux en mieux ce ressenti candauliste, celui de constater que sa femme peut se lâcher devant son homme, sans fausseté, sans mensonges ni trahisons, quelle peut se donner pour nous faire plaisir tout en prenant elle aussi le sien, de pouvoir enfin regarder et apprécier l’extrême beauté de la jouissance de cette femme, celle qui partage votre vie. De capter ces brefs et courts instants où son visage se déforme sous l’ultime décharge d’adrénaline qui se déverse dans les moindres recoins de sa chair, libérant ses râles étouffés qui expriment ...
... l’excitation de son âme face à l’adultère enfin consommé. Car personnellement je pense qu’à la différence des libertins, les purs candauliste ont besoin du franchissement de l’interdit, de défier l’adultère afin de mieux constater la solidité de leur amour, cela fait partie de l’équilibre du couple. Mais permettez-moi de revenir à l’instant présent, celui ou je vois la main de ma femme s’animer de haut en bas pour parcourir le membre convoité, lentement pour mieux constater la longueur et la grosseur de la bête qui vat bientôt la transpercer de part en part. La bouche toujours soudé à cette de mon cocufieur, ma femme commençais à lâcher de petits râles nerveux qui exprimaient la monté du point de non retour, elle était là coincée entre ses deux hommes surexcités, l’un la maintenait à disposition de l’autre pour qu’il puisse en abuser à volonté. Aucune femme ne pourrait résister à un tel supplice de volupté, toute sérieuse quelle fut, de toute origine ou confession, célibataire ou mariée, non, devant de telles sensations il est impossible de résister, juste se laissé sombrer dans la luxure et profiter du moment. Face à son impatience, elle commençait à onduler sérieusement du bassin tout en branlant la grosse bite qu’elle voulait en elle le plus rapidement possible, pour m’en rendre compte j’ai glissé ma main entre ses cuisses pour constater de son état, mal m’en à pris, mes doigts ont plongés dans la mouille épaisse et gluante, jamais elle n’avait mouillé autant avec moi. - Ma ...