1. Le soleil et les voisins


    Datte: 25/12/2019, Catégories: couple, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, jeu, traduction,

    — 3 - Pendant quelques jours, après notre aventure à la carrière, nous avons passé notre temps dans nos activités habituelles et nous n’avons pas eu l’occasion de rencontrer Charles et Geneviève, encore moins d’essayer de nouvelles expériences. Cela a changé la semaine suivante. Depuis l’incident survenu à la piscine, quand Charles m’avait surprise dans une tenue inadéquate, j’avais remarqué que nos voisins essayaient d’être plus discrets s’ils savaient que nous étions dehors dans le patio ou dans le jardin. Pour cette raison, je n’étais pas étonnée de les voir prendre leurs repas dans leur patio, habillés avec des chemises et des shorts. Cet après-midi là, j’étais dans le jardin, portant un panier et coupant des fleurs le long de la haie qui séparait nos jardins. Je voulais faire un bouquet pour décorer notre table. Je portais un petit short et un léger chemisier sans manche. J’étais concentrée sur ma tâche et je ne les avais pas vus s’approcher. Geneviève m’a demandé : — Bonjour ! Comment vont nos nouveaux voisins ? À ce moment-là, j’étais penchée pour atteindre une fleur particulièrement jolie et, pendant que je la regardais, Geneviève et Charles se tenaient juste à côté de moi. Bien que ma position n’ait pas été aussi embarrassante que lors de mon exposition inattendue devant Charles à la piscine, je dois avoir rougi autant : dans cette position, mon chemisier était largement écarté de mon torse, offrant une vue dégagée sur mes seins. Comme bien souvent, je ne portais pas ...
    ... de soutien-gorge, mes seins minuscules ne nécessitant pas un soutien continu. Par réflexe, je me suis redressée aussitôt et nous avons bavardé de choses et d’autres, juste le petit entretien habituel entre voisins, et nous avons tous silencieusement semblé convenir que ce qui avait été montré n’avait pas été vu. Charles ne semblait pas avoir un regard polisson, et Geneviève a toujours la capacité de dire ce qu’il faut afin de mettre chacun à l’aise. Néanmoins, dans mon esprit, j’essayais de comprendre pourquoi je pouvais un jour m’exposer torse nu devant des étrangers et, la semaine suivante, me sentir embarrassée du coup d’œil accidentel d’un ami à mes seins. Si j’avais eu le temps de répondre à la question, je pense que j’aurais conclu que faire quelque chose d’audacieux devant des étrangers m’offrait la sécurité de savoir que je ne les rencontrerais sans doute jamais plus, tandis qu’un ami, particulièrement un voisin immédiat, serait un rappel constant de ce que j’avais fait. Donc, Charles et Geneviève étaient des amis, et les gens à la carrière ne l’étaient pas. Avec ça à l’esprit, j’ai continué de leur parler et à couper des fleurs. En essayant d’agir comme si j’ignorais mon exhibition, je me suis penché un peu plus, j’ai pris mon temps pour couper une fleur d’un coup de ciseaux, et j’ai senti les yeux de Charles fixés sur l’échancrure de mon chemisier, mes seins découverts jusqu’aux mamelons. Bien sûr, pendant que je lui offrais cette vision, j’étais encore embarrassée ...
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