1. Matutinale


    Datte: 16/09/2017, Catégories: fhhh, inconnu, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... s’embrassa quelques secondes puis tomba sur le sable, à quelques dizaines de mètres, près du petit monticule. Voyons : ils n’allaient pas ?… Si ? Devant eux ?… Si ! Sans la moindre retenue, ils s’étreignirent avec frénésie. Cela ne dura pas : l’homme se coucha sur la femme. Elle poussa un cri lorsqu’il la pénétra… Le mouvement des reins, seul visible de loin, s’accéléra… Elle n’en croyait pas ses yeux. Situation ahurissante, sinon irréelle. Ses trois compagnons contemplaient la scène avec attention, le sourire aux lèvres. Leur groupe était scotché au spectacle. Une remarque fusa : — Eh bé ! Ne nous gênons plus ! C’est de la provocation ou de l’incitation ? Le plus proche se tourna vers elle : — Et si nous faisions comme eux ?— Ça vous plairait bien, ricana-t-elle. Vous êtes tous les mêmes, il n’y en a pas un pour racheter l’autre….— J’observe que vous ne dites pas non. Son voisin : — Alors, il n’y a plus de raison de cacher le reste de vos trésors. On pourrait voir ? Elle ne répondit pas. Son regard restait rivé aux membres dressés maintenant. Elle ne réagit même pas lorsque son interlocuteur retira le plus naturellement du monde la serviette posée sur son ventre. Elle se laissa faire avec l’excuse de la plage pour nudistes et du couple affairé plus loin. En réalité, elle attendait ce geste, le recevant dans la logique du désir montant en elle. Un déshabillage plus que bienvenu. Le regard des hommes se fixa sur son mont de Vénus. Ses yeux se fermèrent deux secondes : ...
    ... savourer la délicieuse sensation ! Lorsqu’elle les rouvrit, les trois verges étaient contre son visage : luisantes, tendues, et… tentantes. Cédant à une irrésistible pulsion, elle eut alors un geste dont elle ne se fut jamais crue capable avec des inconnus : sa main droite se ferma sur l’une d’elle, sa bouche s’ouvrit… Cela opéra comme un signal. Ils se jetèrent sur la proie offerte. Tétanisée, elle s’abandonna à la déferlante. D’abord, leurs mains. Une multitude de mains sur le royaume de son corps, une furia de mains explorant les moindres territoires de sa peau. Des mains si douces et si fermes à la fois, dans ses cheveux, sur ses joues, dans sa nuque, sur ses seins, sur son ventre, le long de l’intérieur de ses cuisses. Ensuite des lèvres qui effleuraient sa peau et le parfum de leur sueur et leur salive. Enfin, des doigts habiles qui se saisirent de ses mamelons, les roulant doucement ; d’autres qui pénétrèrent dans le creux de ses oreilles, caressant le lobe ; d’autres enfin, qui s’attaquèrent au trésor de son intimité. Une savante caresse du clitoris lui cisailla le bas-ventre. Son souffle s’accéléra. Un vertige sensuel la chavira. Sa chatte mouilla d’abondance. Elle sentit son ventre irradier de chaleur. Son regard buta contre le couple affairé…. Et ce spectacle lui fouetta les entrailles, décuplant la pulsion qui montait en elle. Le doigt agile titillant son clitoris la rendit folle. Impossible de contenir un mouvement involontaire du bassin d’avant en arrière. Deux mains ...
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