1. Premiers aperçus


    Datte: 25/12/2019, Catégories: fh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    Je suis réveillé par le bruit retenu du loquet de la porte de la chambre. J’ai à peine le temps d’apercevoir la tête de ma cousine Martine et de ramener vivement sur moi un drap pudique que la porte est déjà refermée. Juillet 1965. Après un bac victorieux, je passe quelques jours chez un lointain oncle François, viticulteur aisé, une tante Jeanne, rigoriste, un cousin Fabien d’une vingtaine d’années avec qui je n’ai pas trop d’atomes crochus, et une "cousine" de mon âge, Martine, belle comme le jour, marrante, avec qui j’ai toujours eu beaucoup de complicité. 1965, c’est encore pour beaucoup l’époque de la coercition sexuelle. Le corps doit être caché. Le sexe est occulté, enfoui, banni. La sexualité la plus simple est une perversion immonde, le Péché par excellence, mortel de surcroît. Quant au plaisir, concédé chichement par l’ange à la bête, mâle exclusivement, et dans le strict cadre de la procréation, c’est l’abomination suprême. C’est dire que je me sens un peu gêné quand je descends à la cuisine pour le petit déjeuner. Martine, cachée derrière son bol de café au lait, me lance un regard. Je le trouve plus pétillant que d’habitude à cette heure matinale, un brin rieur même. La journée se passe, sans aucune allusion. Le soir, promenade à la fraîche en famille avec d’autres oncles et tantes. Passionnant. La nuit tombe. Martine me retient pour nous laisser distancer par le groupe. On parle de choses et d’autres, mais je sens bien qu’elle a la tête ailleurs. « Dis-donc, ...
    ... demande-t-elle soudain, il est toujours comme ça ? » « Quoi donc ? » « Ton truc, ton… machin, là. » Fait-elle avec un mouvement expressif du menton. « Comment, comme ça ? » « Ben dis-donc, je n’en avais jamais vu en vrai : c’est quand même vachement gros ! » « Il était gros parce que c’était le matin : il est toujours comme ça au réveil. » « Et après, il est plus petit ? » « Heureusement ! Ce serait un peu encombrant, autrement ! Tu n’en as encore jamais vu ? Tu n’as jamais été avec un garçon ? » « Oh non ! Tu sais, je n’ai pas trop envie de faire mes premières armes avec un garçon d’ici. Ils sont quand même un peu bourrins. » Un ange passe… « C’est doux ? » « Quoi donc ? » « Et bien ton machin, là. Quand il est dur comme ce matin, il est doux quand même ? » « Ben oui ! » « Il faudra que tu me fasses toucher un jour… » « ?… » « Non, je déconne ! » La nuit est complètement tombée. On essaye de rester à distance raisonnable du groupe. « Et toi ? » Reprend-elle. » « Quoi, moi ? » « Tu es déjà allé avec une fille ? » « Bien sur ! » « Tu me raconteras, dis ? » « En fait, non. J’ai flirté un peu, mais je ne suis jamais allé bien loin. Je ne suis pas très hardi. » « Tu n’as jamais vu une femme nue ? » « En vrai, non. La dernière fois, c’était toi : on avait huit ans et on jouait au docteur. » « C’est vrai, je me rappelle : tu n’étais pas très hardi, déjà, et c’est moi qui m’étais déshabillée pour faire la malade. Je te disais que j’avais très mal tout en bas du ventre. » « Eh bien ! » ...
«12»