Cache cache 3
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Sexe Interracial,
Inceste / Tabou
... parcourir de ses larges mains ténébreuses, le corps de ma femme dont la clarté semblait plus lumineuse encore par l’effet du contraste de leurs peaux. Ainsi, accompagnant les ondulations du corps de ma Sophie, il lui caressait tour à tour les globes fessiers, la taille, le dos, les seins, puis les cheveux… n’épargnant en fait aucune partie de son corps lascif.Mon épouse lui était totalement soumise, mais repoussait d’un simple geste les tentatives de ceux qui l’encerclaient pour la toucher. Il y avait une étonnante faculté chez elle à accepter le contact des mains de ce beau noir, et de refuser toutes celles qui prétendaient, ne serait-ce que l’effleurer. Je tentai moi-même de poser ma main au creux de ses reins, mais elle me repoussa avec la même vivacité que ces sombres inconnus ! Ayant compris, car son massif partenaire se mit lui-aussi à éloigner fermement toute autre tentative, le cercle se desserra autour d’eux.Le spectacle s’offrait à chacun dans toute sa splendeur : un bel étalon noir, tout de muscles, culbutant et faisant jouir une bourgeoise au teint laiteux et à la silhouette élancé… Ce corps sublime, dont j’étais le seul à savoir qu’il était celui de ma femme, réagissait à chaque assaut d’une façon admirable. Non seulement ses seins se balançaient lascivement sous les coups de buttoir de son amant, mais c’est tout son être qui semblait vibrer comme parcouru d’une décharge électrique, à la fois intense et exquise…De façon imperceptible pourtant, alors que ma ...
... chérie poussait de petits râles aigus qui témoignaient de sa jouissance, les balancements de son corps s’espacèrent. Bientôt, ils se trouvèrent immobiles l’un dans l’autre et, devant la beauté de ces deux corps soudés, brusquement silencieux, il y eut un étrange silence… Celui qui était en train de me faire cocu une nouvelle fois… mais certainement davantage que la première fois… se pencha lentement pour glisser à l’oreille de mon épouse, ce que chacun d’entre nous put entendre :— Maintenant, tu vas prendre la queue de mon pote qui ne demande que ça… et tu vas l’approcher de ta bouche !Le sourire complice de Sophie ne m’a pas échappé ! Elle semblait si heureuse de pouvoir satisfaire son partenaire par cet autre moyen… Elle releva ainsi son charmant minois, d’où perlaient quelques gouttes de sueur, et tendit sa main qui parut soudain toute gracile et menue, en empoignant avec difficulté l’imposante verge de son deuxième soupirant… Et que dire de ses superbes lèvres, qu’elle avait eu l’excellente idée de parer d’un rouge des plus résistant et qui rehaussait l’exquise sensualité de sa bouche, lorsqu’elle a posé un délicat baiser sur le gland brun et massif s’offrant à sa gourmandise ? Ce fut comme un signal pour celui qui lui besognait la croupe, car il se remit lentement à coulisser en elle…Lorsque je vis la petite langue de Sophie, laper le bout de l’énorme chibre dont l’odeur devait lui fouetter les narines, je ne pus m’empêcher d’avoir devant les yeux l’image de la première ...