Voilà pourquoi les élèves français sont faibles en anglais
Datte: 26/12/2019,
Catégories:
fh,
école,
toilettes,
Oral
uro,
humour,
— Tais-toi ! Nous allons nous faire repérer !— Je n’en peux plus…— Garde ton calme, bon sang !— Comment veux-tu…— Chut !— … alors que tu as tes mains sur…— On vient ! Tire la chasse !— … mes seins.— Tu as les tiennes dans mon slip et je reste cool.— C’est que tu ne m’aimes pas comme je t’aime.— Coralie !— Ou alors que tu as tellement l’habitude qu’une fille…— Chut !— … te caresse les testicules que tu es blasé.— Mais non, la dernière qui m’a caressé comme ça, c’était toi.— Mais je ne t’ai jamais caressé comme ça !— Mais si ! Souviens-toi.— Non, j’en suis sûre !— Ou bien c’est Sébastien qui m’a raconté que tu lui as fait ça.— Oui, Seb, c’est exact. Mais pas toi, alors ?!— Il me l’a raconté tellement bien que j’ai cru que je l’avais vécu.— Et d’ailleurs, pourquoi il raconte tout à n’importe qui, celui-là ?— Je ne suis pas n’importe qui.— Fous-moi à poil !— Dans les chiottes ?!— J’adore !— Merde, on vient. Tire la chasse !— Encore !?— Le mieux serait que tu pisses.— En vrai ?— Mais oui, en vrai. Je ne vais pas faire : « psss » avec les lèvres…— Ça marcherait pas.— … alors que tu as tout ce qu’il faut pour le faire en vrai.— Et toi, pourquoi tu ne le ferais pas à ma place ?— Figure-toi qu’on ne peut pas pisser pendant qu’on bande.— Bon, bon. Tu vas regarder ?— Il y a intérêt. Tâche que ça s’entende. Sinon il y en a qui vont frapper à la porte.— Mais pourquoi tu montes sur les chiottes ?— Parce que sinon sous la porte, on voit qu’il y a quatre pieds, banane.— J’arrive pas à ...
... pisser. Trois gouttes, c’est tout.— Force-toi un peu. Et puisque je suis à la bonne hauteur…— Je suce, j’ai compris.— Tu sais, je suis d’accord pour rater la physique, mais l’anglais j’y vais.— Suce et pisse, bon Dieu !— Merde, on frappe !— Occupé !— Tu es con ! C’est toi qui réponds et comment je fais pour sortir de là maintenant ?— Tu n’avais qu’à répondre, toi !— Mais tu me dis de sucer. Faudrait savoir !— Je t’avais dit surtout de pisser.— On fait ce qu’on peut.— En pissant, tu pouvais répondre : occupé.— Si j’avais pissé, il n’aurait pas frappé.— Moi, je peux sortir, mais j’ai la gaule…— J’ai compris…— Ah, c’est bon ! C’est Broadway ! C’est Paris-Saint-Germain !— C’était bien la peine de me dire de fermer ma gueule.— T’es quand même une sacrée pipeuse.— Dis donc, si tu sors et qu’un mec rentre aussitôt ?— Un mec que tu ne connais pas ?— Mais même un mec que je connais !— Non, si c’est un mec que tu connais, ça s’arrange…— Mais je t’explique que je veux aller en anglais !— Putain, j’entends la voix du surveillant général !— Tu ne bandes plus ; tu peux pisser.— Alors dégage ! Ca fait une demi-heure que tu es assise !— Pisse sur moi !— Tu es folle !— J’adore !— Je ne peux pas : ça me fait bander.— Vous êtes compliqués, les mecs ; nous, on fait tout en même temps.— Et puis tu vas aller en anglais en puant la pisse ?— La pisse de mec, c’est pas tellement fort, je trouve.— Tire la chasse, le voilà !— Qui ?— Le surgé !— Comment tu sais ?— T’entends pas ses godasses en croco ? Clap… ...