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Mon initiation intensive au libertinage. (1)
Datte: 26/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... peu en avant, avec la main de Jacques sous ma jupe et, les autres ne le voyaient pas, ses doigts en moi ! Il glissa au sol et pris place entre mes jambes. Ma jupe était alors suffisamment relevée pour laisser apparaitre la dentelle de mes bas. Il écarta un peu plus mes cuisses et son bras commença a marquer de lents mes très visibles aller retours qui ne laissaient pas de doute sur ce qu’il était en train de faire. Je regardais Mathieu, me sentant complètement perdue dans cette situation. La délectation que je voyais dans ses yeux m’apaisa et je me laissais aller à ces caresses qui devenaient très agréables. Pierre, le propriétaire des lieux est venu s’assoir à coté de moi. Nous nous sommes regardé alors que Jacques me fouillait et que ma respiration était déjà rapide et bruyante. Il me regardait avec attention, comme pour évaluer mon degré d’aise. Puis il se mit à me toucher à son tour... Les épaules, le cou... il passa une main derrière ma nuque et m’approcha de lui. Il m’embrassa à pleine bouche, sans détour, langoureusement. Je restais passive. Sa main se posa sur mes seins et je senti que mon bustier avait été un peu délacé sur le devant... juste assez pour lui permettre d’empaumer complètement mon sein. Il se mit à le malaxer tout en m’embrassant... Mes cuisses étaient alors largement ouvertes et ma jupe relevée sur mon ventre laissait ma chatte apparente aux yeux de tous. La bouche de Jacques s’associa très vite à ses doigts entre mes cuisses et les deux hommes ...
... s’affairaient alors pour mon plus grand plaisir, ma laissant entièrement abandonnée à leurs volontés. Quelques minutes à ce régime suffirent à faire monter le plaisir en moi. La langue de Jacques et ses caresses devinrent vite positivement insoutenables ! La chaleur dans mon ventre s’intensifia. Me sentir ainsi exposée et caressée par toutes ces mains et toutes ces bouches renforçait encore en moi se sentiment de devenir l’objet de plaisir des hommes... Pierre arrêta un instant son baiser et se mis a me pincer un peu le bout des seins qui pointaient terriblement. Il me glissa quelques mots crus à l’oreille: "on va s’occuper de toi, petite pute, tu va voir..." Et là, en un instant, ce fut l’explosion ! Ses mots avaient eu l’effet d’un détonateur. Je sentis tout mon bas ventre se contracter plus durement que jamais et presque instantanément, partir dans un tourbillon de saccades qui m’échappaient complètement et qui en étaient presque douloureuses tellement elles me semblaient puissantes. Mon coeur battait à tout rompre. Je sentis mon vagin s’inonder de mes sécrétions... Je ne pu m’empêcher de hurler mon plaisir ! En reprenant doucement mes esprits, je me suis rendue compte que je pleurais, et que les quatre coquins me regardaient avec un certain attendrissement. Jacques, qui s’était relevé, me pris par la main et m’aida à me lever à mon tour. Je titubais après tant d’émotions. Je me retrouvais donc debout, face à lui, les seins partiellement libérés de mon bustier, les mamelons ...