1. Isabelle, grosse et petite mais belle (5)


    Datte: 27/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tout et se lèche les lèvres. — Prend moi, Hervé, j’en ai tellement envie ! Je quitte la bouche de ma petite rousse mais je ne la laisse pas inactive. Je fais mettre Virginie en levrette et ma petite rousse sous elle, en 69. Virginie ne se gêne pas, elle commence à laper goulûment la petite chatte rousse, qui pour sa part, hésite. — Vas-y. N’ai pas peur. Elle ne va pas tu manger. C’est timidement qu’elle léchouille le sexe de Virginie. J’embroche, on ne pas dire autrement, violemment le sexe béant de la blonde. La petite rousse, n’aimant pas trop le sexe féminin, Me lèche les couilles dès que c’est possible. Les flocs-flocs que fait mon sexe sont tout simplement obscènes. Je la monte telle une pouliche. Sortant parfois et rentrant encore plus brutalement. Au bout de dix minutes de ce traitement, elle s’affale sur le petit corps de la petite. Elle hurle sa jouissance. — HUMFFF, trop bon... ARGHH, putain..... Je sens que je ne vais pas tarder. La petite est toujours en train de me lécher la verge et les couilles. Mon premier jet et pour virginie, je me retire et donne le reste à la petite bouche goulue, qui surprise au début, gobe ensuite mon gland et m’aspire. Elles se relèvent et partagent ma semence dans un baiser passionné. Je les regarde avec tendresse. Je leur caresse le dos. Leurs seins se frottent. Elles tombent sur le côté et continu leur baiser. Marc qui m’a rejoint, me plaque une bière glacée dans le dos. — AHHHH... P’tit con. — AHAHAH.... Elles sont belles les ...
    ... deux sœurs ? — Quoi ! Ce sont deux sœurs ? — Enfin, presque Les parents sont remariés. Virginie est la fille du père et la mère de Léa. — Elles s’entendent plutôt bien. — Et encore tu n’as rien vu. Au fait ta copine est une sacrée cochonne. J’aurai pu la prendre par tous les trous mais je n’en pouvais plus !!! — Et lesquels à tu comblés ? — j’ai commencé par sa bouche et j’ai fini par son cul. — Excellent choix. Elle est où maintenant. — Elle s’est endormie... En me montrant du doigt, je peux voir Isa, endormie, les jambes et les bras écartés. Il était quatre heures. Je vais chercher Isa. Aidé par Marc on la Porte jusqu’à la voiture de Jean. Après avoir dit bonsoir à tout le monde et échangé nos numéros de téléphone, Marc et moi, On glisse la grosse Isa dans le coffre du break. Jean nous dépose où ils nous avez trouvé et repart en me serrant la main. — Tu connais le chemin, à la prochaine. Isa est couchée sur une serviette, les yeux mi-clos et dégoulinante des sécrétions masculines. — Putain, j’ai ramassé. Ouf. Trop bon. On rentre ? Je l’aide à se relever. Je lui dis de se rhabiller. Elle s’essuie, elle se rhabille, moi, aussi. Je la dépose à l’endroit où elle a garer sa voiture. On s’embrasse tendrement. Je rentre chez moi. Je suis de retour chez moi, tout le monde dort encore. Je me dessape, et mets mes affaires dans le lave-linge. Je vais prendre une bonne douche à l’extérieur, près de la piscine. Je prépare le café. Ma femme apparaît dans la cuisine. Je suis nu et avec une ...