1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°913)


    Datte: 29/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fonction marche arrêt, et se terminant à l’autre bout par une petite fourche à deux dents rouges : - Ne lâche pas ce que tu as dans tes mains, et ne renverse rien, chienne ! Le Maître qui se trouvait en face de moi, à l’autre bout de la table, me lança un regard intense et Dominant, qui donnait autant d’encouragements que d’avertissements à ne pas le décevoir. La fourche me toucha une fesse, en même temps que la domina appuya sur le bouton, m’envoyant une décharge électrique qui me fit crier. Puis elle approcha sa fourche de mon entre jambe me faisant craindre le pire. Elle faisait mine de lancer son appareil vers moi puis se reculait, me torturant mentalement. Je luttais pour ne pas refermer les cuisses et ne pas chercher à me dérober. En fait, un courant électrique sortait de l’appareil, et comme j’étais trempée, je savais que j’allais plus facilement conduire l’électricité et que j’allais le sentir passer. Et quand la Domina partit d’assez loin en se rapprochant tout doucement, je contractais tous mes muscles pour ne rien renversé, jusqu’au moment où la fourche m’atteignit et où j’hurlais, puis me repris en haletant, tandis que Maîtresse Cravache allait ranger son appareil. Le Maître m’adressa un hochement de tête approbateur et se fut ma plus belle récompense. Je continuais de desservir, tremblante, essayant de récupérer mon souffle, sous les moqueries des Invités, continuant à me faire palper, caresser, pincer, au passage. Maître César voulut de l’eau, je me dépêchais ...
    ... d’apporter la carafe. Il exigea que je le serve, seins plaqués contre la table, cul bien relevé. Je remplissais son verre difficilement, pendant qu’il faisait aller et venir sa main entre mes cuisses, son pouce appuyant sur ma rondelle. Puis il me doigta franchement, tandis que Le Comte d’Orlan arriva rapidement, me mettant une main dans ma bouche et me malaxant les seins après m’avoir légèrement relevée de son autre main. J’haletais mais faisais tous les efforts possibles pour ne pas gémir. Maître César donnait l’impression de vouloir m’élargir la chatte, car il faisait des mouvements amples de bas en haut, de droite à gauche, étirant mes parois. Maître César me fit me relever et m’abandonna à Maître Le Comte d’Orlan, qui reprit son malaxage de mes seins, tout en me doigtant vigoureusement à son tour. Puis il me repoussa à son tour. Je sentais la cyprine qui me dégoulinait le long des cuisses tellement j’étais excitée. J’aimais cette sensation de n’être plus rien, qu’un simple objet de plaisir, de n’être plus bonne qu’à me soumettre à tout ce que ces hommes et ces femmes voulaient me faire subir, sous les yeux du Maître, qui Lui ne me touchait pas mais ne perdait pas une miette de tout ce qui se passait dans cette pièce. Maître César me rappela à lui, après avoir éloigné sa chaise de la table. Il avait dégrafé son pantalon et avait sorti son sexe de belle taille aux couilles énormes et à la hampe raide et gorgée de sang. Je le gobais d’abord en entier, puis je suçotais juste ...