La première fille - Chapitre IV
Datte: 01/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
amour,
Oral
... résistance farouche du fait de l’inexpérience du jeune homme dans le "dégrafage", qui nécessite une technique avérée. Après quelques caresses sur cette poitrine ainsi libérée de toute protection, Vincent peut à loisir pétrir, sucer et lécher ces seins bien fermes et découvrir avec amusement la dureté et l’érectilité d’un téton féminin convenablement stimulé. Après quelques minutes pourtant délicieuses pour les deux amants, Marie, intriguée par ce membre viril qui en frottant contre son pubis ne cesse de l’interpeller, se laisse doucement glisser le long du corps musclé de Vincent en l’embrassant avec douceur. Ses lèvres et sa langue font des merveilles sur les tétons du jeune homme qui se dressent et durcissent en quelques secondes. Puis Marie descend encore : sa bouche continue de baiser tendrement le torse et le ventre de Vincent tandis que son corps s’efforce de coller au plus près du sexe masculin et que ses longs cheveux caressent involontairement la peau douce et chaude du jeune homme. Vincent, lui, ne bouge plus ; il reste totalement passif face au savoir-faire de sa partenaire de près de dix ans son aînée. Il se contente de fermer les yeux et de ne pas s’emballer afin d’éviter le pire. Une fois à genoux entre les jambes de Vincent, elle embrasse le jeans à un endroit stratégique. Le jeune homme frissonne et gémit. Marie s’amuse un peu à caresser sa braguette mais, devant l’impatience et la souffrance visible de Vincent coincé dans son pantalon, auxquelles s’ajoute ...
... l’impatience légitime de la jeune femme, elle décide de le délivrer de sa prison de tissu. Elle déboucle sa ceinture et déboutonne lentement la braguette. Elle sent son vit se trémousser d’impatience. À peine a-t-elle le temps de baisser quelque peu le jeans et le caleçon qu’un phallus en est éjecté, prenant sa position verticale privilégiée tout en palpitant à la recherche d’un contact humain. Après avoir descendu les habits jusqu’aux chevilles, Marie se saisit de ce phallus et le branle avec douceur afin d’en jauger la prestance qu’elle estime tout à fait admirable. Puis, après quelques instants de branlette qui finissent de l’étirer et de le grandir, elle dépose quelques baisers sur le gland complètement humide, tout en continuant sa branlette. Retrouvant après quelques mois de disette le goût si savoureux d’un gland bien juteux, elle le lèche avec toute sa gourmandise et son savoir-faire. Après quelques secondes de succion, plusieurs secousses contractent l’objet de sa convoitise, laissant échapper sans puissance quelques gouttes blanchâtres qui, après un passage rapide dans l’antre buccal féminin qui se retire prestement, dégoulinent sur la verge puis sur les doigts de la fautive. — Désolé, tu me fais trop d’effet, j’ai pas pu me retenir ! se justifie Vincent avec empressement.— Je vois ça ! On m’a déjà fait le coup, mais à ce point… Mais t’en fais pas, c’est pas bien grave, la nuit ne fait que commencer, conclut-elle d’une tape amicale sur la cuisse avant de se lever et de ...