Retrouvailles
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
policier,
fantastiqu,
fantastiq,
... maîtrisée. Le souffle coupé, Harris s’effondra dans le canapé. C’était pire que prévu, et ce n’était que le commencement. *** J’ouvris les yeux brusquement, passant des ténèbres à la lumière avec une violence inouïe. — Ben ! Elle se tenait tout près de moi, assise au bord du lit sur lequel j’étais allongé. Je la regardai, incrédule, cherchant à mettre un nom sur ce visage. — Nouria… Je me redressai vivement et la pris dans mes bras. — Tu es vivante !— Ben, je… Elle sentait bon. Mon nez dans ses cheveux, je sentais sa chaleur. Neuf ans que j’attendais ça. Je l’embrassai sur la joue, sur les lèvres. — J’ai cru t’avoir perdue pour toujours. Elle ne répondit pas, se contentant de me fixer, puis sa main vint effleurer mon visage d’un doux geste. — Ben… Neuf ans… Je suis désolée. Elle portait un jean et un débardeur noir. Aussi ravissante que dans mes souvenirs. — Ben…— Nouria, je t’aime. Je l’embrassai, retrouvant le goût de ses lèvres, caressant son visage, sentant son souffle s’accélérer. Je ne savais même pas où nous étions. Peu importait, en fait. Je l’attirai contre moi, et elle se retrouva allongée sur moi, et je savourai son corps divin pressé contre le mien. Je posai mes mains le long de son dos, les remontant doucement, sans cesser de l’embrasser avidement. D’abord hésitante, elle finit par me rendre mes caresses. — Tu m’as tellement manqué, Ben, me chuchota-t-elle à l’oreille. La serrant contre moi comme si je voulais me fondre en elle, je la couvrais de baisers. Je ...
... glissai mes mains sous son débardeur, savourant la chaleur de sa peau, alors que nos langues se mélangeaient. Elle se redressa quelque peu, et ôta son débardeur, me dévoilant sa poitrine prisonnière d’un soutien-gorge noir. Je me redressai et la serrai contre moi. Elle se rejeta en arrière et je l’embrassai dans le cou. Elle ondula du bassin contre mon bas-ventre. — Hmm… Ben… Je passai mes mains dans son dos, dégrafant son soutien-gorge et le jetai au loin. Précipitamment, dans l’urgence du désir, je descendis ma bouche le long de son cou et emprisonnai ses mamelons l’un après l’autre, passant ma langue dessus alternativement. Elle glissait ses mains dans mes cheveux en soupirant de plaisir. C’était délicieux. Je la tétai, la suçai, la mordillai. — Oui… Je quittai ses seins, cherchant sa bouche de ma langue. Nous retombâmes sur le lit, moi sur elle, la surplombant, me frottant contre elle. Nouant ses jambes autour de ma taille, je lui couvris le visage de baisers. — Oui… Je descendis le long de son ventre, l’embrassai au passage, laissant mes mains sur sa poitrine. Puis je dégrafai de mes doigts tremblants la fermeture Éclair de son jean, et le fis glisser le long de ses hanches. J’avais complètement oublié les événements. Plus rien ne comptait, sauf elle et moi. Bien sûr, au fond de mon cœur, je savais, mais je voulais continuer à me flouer. Nouria vivait en elle. Si je voulais retrouver la raison, être capable de faire face, cela devait se passer comme cela. Sans même prendre ...