Une famille formidable !
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
cocus,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
fdanus,
... le triangle de peau qui ferme son entrecuisse : la coquine ne porte encore pas de culotte ! Elle ondule lentement des hanches afin de me faire pleinement profiter de ses délices. Je suis sorti de ma torpeur par un événement inattendu : Jean-Louis se tait ! Je n’osais plus y croire. Il a la bouche semi ouverte, et ses yeux, exorbités, sont rivés sur Anne. Elle referme aussitôt les cuisses et réajuste sa tenue. Trop tard : il n’a pas pu échapper à Jean-Louis que sa belle-sœur ne portait pas de culotte. Patrick, à demi saoul, n’a rien vu. Clémence, son casque sur les oreilles, non plus. Je pouffe de rire en apercevant le filet de bave qui coule sous la moustache de Jean-Louis. Cela devait faire bien longtemps qu’il n’avait pas vu de si beaux trésors. Anne s’en sort par une pirouette ; elle se relève et feint de trébucher. — Houlà, je crois que je suis un peu pompette ; je pense qu’il est temps que nous allions nous coucher, lance-t-elle. Jean-Louis se lève ; il a le souffle court et s’approche pour l’embrasser ; j’en suis révulsé pour elle. Il la serre contre lui bien plus qu’il ne faudrait et lui assène un baiser sonore et humide avant de rentrer dans la maison en grommelant. Patrick se lève et, à tâtons, regagne sa chambre. Anne et Clémence me saluent, sagement, puis le suivent à l’intérieur. Anne me fait un petit clin d’œil et me mime l’envoi d’un baiser au moment où elle ferme les volets. —ooOoo— Je regagne ma tente ; elle sent le renfermé. Je me faufile dans mon sac de ...
... couchage et m’endors rapidement : je suis fatigué. Au cœur de la nuit, le bruit de la fermeture Éclair de ma tente me réveille en sursaut. Mon cœur bat la chamade ! Le faisceau d’une lampe-torche balaie l’intérieur de ma chambre de toile. On ouvre la moustiquaire : c’est Anne, en peignoir. Elle se glisse dans la tente et referme la toile, puis me rejoint dans mon sac de couchage. — Je n’en peux plus ! J’ai attendu toute la soirée qu’ils aillent se coucher pour te rejoindre.— Et si Patrick se réveille, ou Jean-Louis ?— Ne t’inquiète pas, ils sont fins saouls, me dit-elle alors qu’elle commence à caresser mon torse. Je l’embrasse à pleine bouche, elle dévore mes lèvres. Je pars à la recherche du nœud de son peignoir, le dénoue : elle est entièrement nue dessous. La pointe de ses seins est durcie par la fraîcheur nocturne et l’excitation. Je m’applique à lui lécher les tétons et à les sucer pour en accroître encore le volume. Ma langue glisse entre ses seins majestueux ; sa peau est légèrement salée, elle est délicieuse. La main d’Anne s’est faufilée dans mon caleçon. Elle en fait surgir mon sexe au faîte de sa forme et me branle énergiquement. Je la sens excitée comme jamais. De mes mains je parcours son corps, le galbe de ses hanches, le creux de ses reins ; elle frémit. En particulier lorsque j’effleure sa taille, juste en dessous de ses côtes : elle est chatouilleuse à cet endroit précis, tout son corps se recouvre alors de chair de poule, c’est exquis. Mes doigts courent sur sa ...