Une famille formidable !
Datte: 02/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
cocus,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
fdanus,
... maintenant ses fesses au-dessus desquelles la nuisette a fini par se retrousser. Je caresse sa croupe et lui pose un autre baiser dans le cou. Elle se recroqueville. Ma main s’immisce dans le sillon de ses fesses, attirée par la douce chaleur de ses chairs intimes. — Arrête, tu vas être en retard… Et ne rentre pas trop tard, me dit-elle, toujours endormie. Elle a raison : il faut vraiment que j’y aille. Je tire la nuisette sur ses fesses, remonte le drap sur ses épaules, dépose un dernier baiser sur son front et sors de la chambre, puis de la maison. J’ai environ vingt minutes de route avant d’arriver au boulot. Les dix premières m’ont servi à calmer l’érection due à ce doux moment que je viens de passer. Savait-elle que c’était moi, ou pensait-elle que c’était son mari ? J’ai finalement agi avec elle ce matin comme un petit mari aimant, souhaitant la bonne journée à sa compagne avant de quitter le domicile. Voilà que je me prends à imaginer une vie à deux dans cette maison avec elle, enjouée et sensuelle, prenant la place de Patrick. J’arrive avec ces pensées en tête au travail, pile à l’heure. —ooOoo— La journée se passe, ni bien ni mal ; le boulot n’est pas compliqué. Tous les matins je dois faire mes préparations dans l’atelier. Je fais le point sur la caisse avec le patron le matin et le soir après ma tournée. Par contre, c’est vraiment très dur physiquement : le panier est encore plus lourd que je ne le supposais, et marcher dans le sable, lesté de la sorte, n’est ...
... vraiment pas aisé. Bref, je finis ma tournée aux alentours de 17 h 30 et rentre complètement fourbu de cette première journée. Il faut espérer que j’arrive à m’adapter à tout cela assez rapidement. En arrivant à la maison d’Anne et Patrick, je suis surpris de voir deux voitures garées dans la cour et entends pas mal d’agitation aux alentours de la piscine. La voiture de Patrick n’est toujours pas là. Je m’approche, espérant distinguer une tête connue. C’est finalement Anne qui m’aperçoit la première. — Ah, le voilà ! Je vous présente le meilleur ami de Thomas.— Bonjour tout le monde ! J’ai droit en retour à un « Bonjour tout seul ! » de bon aloi. Anne reprend, me désignant les personnes une par une : — Et voici l’oncle Jean-Louis, sa femme Agnès, et leurs enfants, Clémence et le petit dernier qui est dans l’eau là-bas, c’est Théo.— Salut ! me lance Théo avant de repartir en exploration sous-marine. Je sens une certaine gêne dans la voix d’Anne, et devant mon regard interrogateur, elle poursuit : — Agnès m’a appelée ce matin pour nous dire qu’il nous faisait la surprise de venir passer quelques jours à la maison comme ils le font tous les ans. Je reçois à ce moment-là une énorme tape dans le dos : c’est tonton Jean-Louis. Lui, c’est le stéréotype même du beauf. Lunettes à verres fumés qui surplombent une moustache jaunie par des années de mégots de Gitanes se consumant à ses lèvres. Un nez rouge à faire pâlir d’envie tous les producteurs de fraises de Plougastel. Il a un visage ...