1. Une famille formidable !


    Datte: 02/01/2020, Catégories: fh, jeunes, cocus, fépilée, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral fdanus,

    ... marbre. Elle a à peu près le même âge que Thomas et moi. Lorsque je me tourne vers elle, elle détourne le regard aussitôt et se met à rougir ostensiblement. J’en souris intérieurement. Je prétexte le besoin d’aller déposer mes affaires pour sortir de la portée des jets de postillons de tonton Jean-Louis qui continue à hurler – cela semble être son unique moyen de communication – sans raison particulière. Anne court à ma suite et me rattrape, gênée. — Je suis désolée, ce n’était vraiment pas prévu. Je la rassure aussitôt : — Mais ce n’est pas grave, vous avez bien le droit de recevoir qui vous voulez, vous êtes quand même chez vous.— Oui, mais la personnalité de Jean-Louis, quand on n’est pas préparé… J’éclate de rire. — Oui, effectivement, c’est un personnage !— Et tu n’as encore rien vu. Au fait, ça a été, ta journée ? Je ne t’ai pas entendu partir ce matin. Elle pense donc que c’est son mari qui est venu l’embrasser ce matin ! — Oui, très bien. Par contre, je suis éreinté. Je vais aller me reposer une petite demi-heure dans la chambre.— Euh, non ; à ce propos, tu as bien toujours ta toile de tente dans ta voiture ?— Oui, pourquoi ?— Eh bien, ils se sont installés dans la chambre de Thomas ; il faudrait donc que tu déménages. Tout s’effondre ! Moi qui rentrais tout guilleret du boulot et qui m’imaginais ce matin encore pouvoir continuer à jouir de cette situation paradisiaque, voilà que je me fais mettre à la portemanu militari. Bien que contrarié, je feins l’indifférence. ...
    ... — OK, il n’y a aucun problème ; je vais récupérer mes affaires et essayer de trouver un camping.— Non, non, je me suis mal fait comprendre : je ne souhaite pas que tu partes, il n’en est pas question, répond-elle, un peu paniquée. Cela me rassure : mes espoirs n’étaient donc pas infondés. Elle reprend : — Simplement, il faudra que tu installes ta toile de tente au fond du jardin le temps de la villégiature de ces gêneurs.— Tu me rassures ; un instant, j’ai cru que tu voulais me dégager.— Tu crois vraiment que j’en ai fini avec toi ? me dit-elle en me déposant un baiser furtif sur les lèvres, maintenant que le malentendu est dissipé. Et me voici donc dans le jardin, complètement fourbu avec une épaule démise à essayer de comprendre les instructions qui me permettront de transformer cet amoncellement de tissu et d’arceaux en une tente solide et confortable. — Il a besoin d’un coup de main ? me hurle Jean-Louis depuis le bord de la piscine. Il s’adresse à moi à la troisième personne : je ne supporte pas ça ! — Non, non, ça ira, merci.— Si il a besoin, qu’il hésite pas, tonitrue-t-il. Après une bonne demi-heure d’essais infructueux, j’ai enfin réussi à dresser la structure et à la stabiliser. Au moment où je termine mon installation, Patrick, revenant du travail, se gare dans la cour de la maison. Toute la famille de Jean-Louis se précipite à sa rencontre. Il est surpris et ravi de retrouver son frère et sa famille pour quelques jours. —ooOoo— Nous nous retrouvons tous quelques ...
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