Mon super anniversaire (6)
Datte: 04/01/2020,
Catégories:
Lesbienne
... se raidir, son ventre se crispe, elle me serre le cou avec ses jambes. — AAAAAAAHHHHHHH, oui, oui, je jouis, je jouis, encore, encore, ouiiiiiii. Je m’active toujours sur son clitoris tant qu’elle jouit. Elle met un certain temps à se calmer, je la dépose doucement sur le divan et remonte le long de son corps pour venir poser ma bouche sur sa bouche. Elle refuse mon baiser. — Excuse-moi, mais j’ai horreur de ça, je n’embrasse jamais personne sur la bouche, je ne supporte pas les baisers baveux. — Comme tu veux, c’est ton choix. — Mais d’un autre côté, j’adore sentir le corps d’une femme sur le mien, tu peux rester tant que tu veux. — J’y compte bien. Je pose ma tête sur son épaule, nous restons un moment l’une sur l’autre, jusqu’à ce que Julie revienne. — Excusez-moi les filles, mais j’avais une envie pressante et j’en ai profité pour prendre une petite douche et récupérer ce petit joujou. Elle porte à la taille un gode-ceinture doté d’un énorme sexe réaliste terminé par un non moins énorme gland. Joy le regarde. — Tu peux venir plus près que je le tâte ? — Bien sûr. Julie s’approche, Joy tâte le gode, fait glisser sa main dessus. — Ça, j’aimerais bien l’avoir dans le fondement. irfisstz — Tu veux te faire sodomiser par ce gode ? — Oui, d’autant qu’il a une certaine souplesse, ça doit être formidable de se faire défoncer le fion par cet engin. — Je confirme, c’est super. Joy bouge un peu, je la libère pour lui permettre de s’assoir. Une fois assise, elle remarque les fenêtres ...
... ouvertes devant les chambres d’en face. — Elles sont toujours ouvertes ? — Oui, j’adore qu’on me regarde, il y a un hôtel en face et les chambres sont pleines toute la semaine. Je suis tout le temps à poil dans mon appartement, l’hiver je ferme les fenêtres, mais je n’ai pas de rideaux et j’allume la lumière. Lili est comme moi, nous adorons baiser devant les fenêtres. — Vous me plaisez de plus en plus vous deux. Elle se lève et va vers une fenêtre pour regarder au dehors. Elle revient s’assoir sur le divan, écarte au maximum les cuisses et commence une masturbation lente. Julie s’assoie à côté d’elle, glisse sa main sous la ceinture du gode et l’imite, je fais de même. Nous sommes trois filles, dont l’une est affublée d’une énorme bite en latex, assises côte à côte à nousmasturber devant une fenêtre grande ouverte. Nous pouvons voir quatre fenêtres de l’hôtel, deux à notre niveau et deux au-dessus. Nous distinguons trois ombres derrière les fenêtres, mais je suis intriguée par une fenêtre de l’étage au-dessus, l’ombre me paraît différente. — Vous avez vu l’ombre en haut à droite ? — Oui. — Non. — Elle me semble bizarre. — Bien sûr, c’est une femme, je la connais, elle vient une fois par mois du lundi au jeudi. Elle doit repartir le vendredi chez elle. — OK. — Elle ne se dévoile pas parce qu’elle ne vous connaît pas, mais je pense qu’elle ne va pas tarder à le faire, vous verrez, elle est très belle, et elle aime se montrer elle aussi. Ça fait deux mois que je ne l’avais pas ...