1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (6)


    Datte: 05/01/2020, Catégories: Hétéro

    Je me suis donc mit activement en quête d’une femme. J’ai essayé les sites de rencontre mais les seules femmes qui me disaient oui me demandaient de l’argent après notre premier câlin. Des prostituées avaient investi ces sites pour élargir leurs clientèles. J’étais déçu mais au final pas si surpris que ça. Je ne comprenais pas pourquoi je ne trouvais pas. Est-ce que je visais trop grand ? C’est vrai que je cherchais une fille jeune, jolie, avec une belle poitrine, qui serait d’accord pour faire un bout de chemin avec moi et, à terme, me faire des enfants ou au moins un. C’était quoi qui me freinait ? Mon âge ? Mes exigences étaient-elles trop grande pour un homme comme moi ? Probablement. Il faut dire qu’après avoir couché avec toutes ces femmes payantes à la plastique retouchée qui m’avaient donné l’illusion d’être un apollon, peut-être avais-je fini par le croire. Sur ces sites internet, j’ai aussi fait des rencontres un peu particulières. A l’époque, le phénomène n’était pas vraiment connu mais sans le savoir j’avais expérimenté le « Sugar-daddisme ». Bah oui j’avais des moyens financiers plus que correctes et certaines filles, qui se cherchaient un mécène, me parlaient de leur difficulté de vie d’étudiantes ou encore simplement pour joindre les deux bouts. Certaines étaient prêtes, dans le cadre d’un échange de bons procédés, à coucher avec leur bienfaiteur. En gros, ça ne me changeait pas de ma vie d’avant, je payais toujours pour du sexe mais pas directement. Toutefois ...
    ... je me suis bien rendu compte que cette vie n’était encore qu’une illusion car, dès qu’elles avaient eu ce qu’elles voulaient ou qu’elles avaient terminées leur année : Bye, bye ! Au boulot, mes collègues avaient bien fini par comprendre mon mal-être. Alors pour me changer les idées, ils m’ont fait une surprise pour mon anniversaire. Ça s’est passé en fin de journée. J’étais dans le parking sous terrain et je me dirigeais vers ma voiture quand j’ai vu cinq mecs cagoulés me foncer dessus. Ils ont eu vite fait de me rattraper, de me bander les yeux, de me bâillonner et de me faire monter dans une camionnette sans dire un mot, hormis peut-être un petit grognement. Ils m’ont ensuite fait descendre et on est entré dans un bâtiment. Je demandais ce qu’il allait se passer mais je n’avais aucune réponse claire. J’ai ensuite été assis de force sur une chaise et on m’a retiré ma cagoule. J’étais dans une salle noire. Quand la lumière s’est allumée, j’ai constaté que mes ravisseurs étaient les membres de mon équipe. Je les ai reconnus, malgré la pénombre, quand ils ont retiré leurs cagoules en criant « SURPRISE ! ». Ils avaient organisé tout ça et avaient privatisé un bar pour la soirée. C’est là que l’instigateur de tout ça s’est approché de moi. — Ah bon sang t’aurais vu ta tête …. C’était à mourir de rire. — Vous m’avez fait peur. Bon si vous me détachiez maintenant ? — Pas avant ton cadeau. — Mon cadeau ? C’est là qu’une fille aux attributs plus que visibles s’est pointée m’amenant ...
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