1. Coach sportif n°1 : Flavie (1)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Hétéro

    ... spectacle commençait cependant lorsque je me suis retourné. C’est à ce moment-là que tout a dérapé. Flavie se tenait devant moi, en brassière et en petite culotte, un tanga en dentelle rouge pour être précis. "Que, qu’est-ce que vous faites ?!" Sans un mot, elle s’approcha et passa la main sur mon torse, par-dessus mon débardeur. Effleurant de ses doigts fins mes abdos saillants de coach, elle avait l’air de vivre à fond son moment. "Depuis le temps que j’attendais ça..." dit-elle dans un soupir. Nous sachant seuls, et vous vous en doutez très bien, je rentrais dans son jeu assez facilement. "Enlève le haut, fais-moi voir tout ça" lui dis-je. Elle s’exécuta presque immédiatement, retirant avec sensualité sa brassière, découvrant au grand jour deux petits seins, un peu tombants, avec des tétons en pointe qui mesuraient bien dans les trois-quatre centimètres. Elle était déjà excitée. Je m’empressai de poser ma main sur ces mamelles, les caressant délicatement et pinçant ces gros tétons. Elle ne perdait pas de temps en frottant avec conviction mon jogging, à la recherche d’une bite qui ne tardait pas à grossir. Après quelques secondes, sa main droite, avec sa manucure rose fluo, sortait ma bite de son vêtement et commençait à me branler. La sensation était bonne mais je voulais en voir plus. Je l’agrippai et la forçai à s’asseoir sur le banc du vestiaire. "Enlève ce qu’il te reste", encore un ordre et elle obéissait aussi vite. Le tanga rouge fila par terre à la vitesse de la ...
    ... lumière, me laissant nez à nez avec une chatte lisse, parfaitement épilée et déjà bien humide. Je posais mes genoux par terre et je commençais à lui brouter le minou, avec force, j’arpentais ses lèvres, son petit bouton du plaisir, ce qui avait pour directe conséquence de lui arracher quelques gémissements assez excitants. Ces bruits m’avaient rendu bien droit, il n’en fallait pas plus pour que je me relève, enfile une capote que je gardais toujours en poche et que je positionne mon pénis aux portes de son vagin. Je faisais pousser ses lèvres avec mon gland, pour attiser l’envie, sa chatte dégoulinait sur ses cuisses et sur le banc, comme une petite pucelle. J’entrais en elle comme dans du beurre fondu, les lèvres laissaient passer mon membre, pas si ridicule tout de même (20 centimètres) et je tapais très rapidement le fond de sa cavité. Elle avait dû en voir passer la coquine. Je pouvais la limer sans problème, ses minuscules bourrelets et ses petits seins dansaient en rythme avec ma bite qui la pénétrait. Les gémissements laissaient place à des cris, elle se pinçait elle-même le bout de ses seins, puis à mesure que son orgasme arrivait, se masturbait le clitoris, à le titiller pendant que je lui rentrais dedans de plus en plus fort. D’un coup, son corps se mit à convulser, pendant plusieurs secondes, son vagin se rétrécit et mangea presque ma queue, le temps pour Flavie de jouir fortement. Elle s’allongea de fatigue sur le banc, fermant les yeux pendant un instant. J’en ...