1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (1)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Hétéro

    ... ça dans le lit de ses parents et c’est au moment de se rhabiller qu’elle m’a demandé « comment on fait pour le BAC ? ». Je l’ai alors remercié pour tous ces délicieux moments en sa compagnie mais que je n’allais pas prendre le risque de me mettre dans la merde pour elle lors de l’examen. Comprenant qu’elle s’était bien fait avoir, elle voulut me menacer mais je lui ai gentiment rappelé que dans l’histoire c’est elle qui passerait pour la salope de service. Je suis parti en lui laissant sur la table son dernier devoir. Elle ne m’a plus jamais adressé la parole. uqpuxxzd Comme prévue, j’ai eu mon BAC. Pour la mention « bien », c’était la surprise. Comme je le pressentais, Gladis ne l’a pas eu sur le moment mais elle est quand même allée au rattrapage où elle l’a eu, on ne sait comment. D’après un autre camarade de classe, il l’aurait vu ressortir de la salle, elle était la dernière de la journée et elle réajustait sa jupe. En jetant un coup d’œil dans la salle, l’examinateur, qui était un gros type moche qui ne devait tirer son coup une fois par année bissextile, avait le sourire aux lèvres, sa boucle de ...
    ... ceinture défaite et on voyait la couleur de son slip par sa braguette encore ouverte. Avait-il inventé cette histoire où non ? A-t-elle usé de ses charmes avec son examinateur ? Je n’ai jamais su mais je m’en foutais. Moi de mon côté, je devais préparer ma rentrée de septembre. Je m’étais inscrit dans une école prestigieuse à Paris pour laquelle j’avais réussi brillamment le concours d’entrée. Mes parents ayant du mal à suivre financièrement, mon père m’avait confié à mon oncle, son frère cadet. Il était photographe et allait avoir besoin de petites mains au quotidien. J’allais donc avoir le gite, le couvert, déduit du salaire qu’il allait me verser et avec le reste, j’allais pouvoir économiser ou aider mes parents. Tonton, je le connaissais à peine. Lui, allait bénéficier de main d’œuvre bon marché. C’est à contre cœur que ma mère m’a laissé partir. Déjà parce que c’était la première fois que je m’éloignais autant et surtout parce que ma mère n’appréciait que moyennement son beau-frère. A ce moment-là je ne savais pas pourquoi. Plus tard j’ai compris qu’elle n’aimait pas ce côté vieux gars, éternel ado qu’il avait. 
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