Le volcan qui couvait s'est réveillé
Datte: 06/01/2020,
Catégories:
ff,
fhh,
2couples,
fbi,
hbi,
extraoffre,
copains,
vacances,
caférestau,
douche,
noculotte,
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
69,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
... cercle vicieux était donc fermé et c’est l’instant où les desserts sont arrivés avec leur cohorte de serveurs. Comme il se doit dans ce type d’établissements, il y avait un serveur par convive. La sensation était grisante. Marie ne cessait de me masturber de son pied, le mien explorait les moindres replis de la chatte d’Alexandra lorsque les serveurs ont commencé à nous décliner les choix de chacun. C’était surréaliste. Nos caresses, tout en continuant ont perdu un peu d’intensité alors que nous mangions nos desserts. D’un commun accord, nous avons ensuite choisi de ne pas prolonger le supplice plus que de raison et de ne pas prendre de café. L’addition, nous annonça Philippe, était déjà réglée, il ne nous restait plus qu’à filer. C’est donc à regret que j’ai senti le pied de Marie abandonner ma queue et qu’à mon tour, je quittais l’entrecuisse d’Alexandra. Au moment de se lever, elle se pencha vers moi pour me demander de lui prêter ma veste au prétexte que le froid commençait à tomber. Je lui tendis avec plaisir mais elle ne peut cacher, en la passant, la vraie raison de sa demande. Assise tout au long du repas sur sa saharienne, celle-ci était littéralement détrempée, imprégnée de toute la mouille qui avait coulé de sa chatte, arborant une auréole qui illustrait son état d’excitation extrême. C’est à ce moment que Marie me frôla pour me glisser à l’oreille – « C’est l’inconvénient des vêtements clairs… ». C’était effectivement moins visible que sur Alexandra mais, pour un ...
... œil averti, sa robe fuseau noire laissait tout de même nettement deviner son trouble. Une fois arrivés à la voiture, d’autorité, les filles se sont installées à l’arrière. Sans aucune retenue, elles ont commencé à s’embrasser et à se caresser. À l’abri des vitres fumées du 4x4, Philippe et moi les avons regardées un moment avant de nous retourner. Je dis « nous » car j’ai choisi d’être solidaire de Philippe qui était bien obligé de conduire ! La saharienne d’Alexandra était déjà entièrement déboutonnée découvrant son corps laissé libre de tout sous-vêtement et la robe de Marie était retroussée au-dessus de ses hanches, livrant sa chatte aux regards de tous. Tandis que leurs langues se mêlaient, les mains de l’une ne cessaient de parcourir le corps de l’autre, pelotant les seins, titillant les tétons, effleurant le clito, s’enfonçant un instant entre les lèvres ouvertes et luisantes, filant rapidement jusqu’à l’anus pour l’effleurer. C’est avec de grandes difficultés que Philippe et moi nous sommes arrachés à ce spectacle envoûtant pour nous retourner. Ma queue, tout comme la sienne dans le sien, déformait largement mon pantalon. La route du retour me parut interminable tant je mourais d’envie de me joindre aux filles dont les soupirs, les gémissements et autres petits cris emplissaient la voiture. Profitant d’un des rares feux tricolores présents sur l’itinéraire, nous nous sommes retournés pour découvrir que les deux filles étaient maintenant intégralement nues, installées ...