Appelez-moi Zorro
Datte: 07/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
poilu(e)s,
train,
amour,
cérébral,
Oral
pénétratio,
historique,
pastiche,
policier,
aventure,
sf,
fantastiqu,
sorcelleri,
... laissait à désirer. Après avoir mis en sécurité ses collègues toujours inconscients, il fit le tour de l’épave, se rendant vite compte que la navette ne volerait plus jamais. Il s’aventura un peu plus loin, vers ce qui lui semblait être une clairière. Là, une vision de rêve le cloua sur place. Ce qu’il prenait pour une clairière était un grand lac bordé d’arbres en fleurs. Un oiseau dans les frondaisons lançait un cri de temps à autre, unCoucou très mélodieux. Un étrange équipage arrivait vers lui. Des gardes humains entouraient un palanquin porté par deux animaux à six pattes et à tête de rhinocéros. Dessus se tenait la plus belle femme qu’il ait jamais rencontrée. Vêtue de soies transparentes, un diadème posé sur les longs cheveux de jais, des bracelets d’or et d’argent enserraient ses bras et poignets. Il admirait les adorables petits seins qui gigotaient derrière le tissu, il pouvait même voir les tétons se hérisser ainsi qu’une ombre plus sombre au bas du ventre. La divine créature posa les pieds sur le sol et s’approcha de lui. — Princesse, voici le puissant Seigneur des Cieux, dit un garde. Une princesse ? Une déesse oui ! — Oh, divin seigneur, vous qui venez des étoiles, voudriez-vous nous accompagner en notre palais, dressé au centre du Lac du Corbeau, nous voudrions vous demander de nous aider, mon peuple et moi à nous débarrasser de ces immondes envahisseurs, les Zourgs ? Heureusement, son traducteur universel lui permettait de saisir les paroles de la sublime ...
... créature. Avant qu’il n’ait pu comprendre le sens précis du discours, de demander ce qu’était unZourg, des cris retentirent, les gardes furent bousculés et une troupe hurlante de petits êtres bas sur pattes et agressifs se saisit de la princesse et la brutalisa. Des personnages à casquette et capuche, pantalons bas du cul et hurlant comme des damnés. — Merdes sur pattes, anus de poulpes, hurlait la belle enfant.— Que se passe-t-il, demanda le capitaine. ooOOoo — Que se passe-t-il ?— Merdes sur pattes, anus de poulpes, z’allez m’lâcher ! Il se réveille en sursaut, son traducteur semble déconner une nouvelle fois. — Résidus de fond de calbute, lâchez-moi.— Donne ton sac, salope. Il ne rêve plus. Sa belle inconnue se fait secouer par deux loubards encapuchonnés. Elle s’agrippe à son sac avec l’énergie du désespoir. Les autres passagers se planquent courageusement. Encore mal réveillé, il ramasse sa besace et s’approche de l’algarade. Il se sent des velléités de paladin, de mousquetaire, de privé. — Holà, marauds, qu’est-ce donc.— Tu veux quoi bouffon, demande l’un des agresseurs en sortant un couteau de sa poche. Sans réfléchir, il balance son sac sur la tête du truand, un grand bruit métallique s’ensuit, un genre deChklong Booing, le gus marque un temps d’arrêt, ouvre la bouche dont s’échappent quelques dents. — Zuuh ! zozote-t-il en s’écroulant.— Qu’êk ta fé à mon po… tente de questionner le second.— Passe le bonjour à tes gosses, hurle la jolie inconnue. Elle vient de planter un ...