1. c'est grave, docteur? (1)


    Datte: 07/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... son retour. La piqûre arrache des spasmes à la patiente qui manque tourner de l’œil. Goutte à goutte le liquide s’insinue dans le clitoris qui vire au rouge puis au violet. Quand la naine s’arrête l’organe à la taille d’un cornichon moyen. Le bon docteur reprend son ouvrage et distille quelques dizaines de centimètres cubes de sérum dans les grandes lèvres de sa cliente. La vulve enfle progressivement et se met à ressembler à un abricot géant. La scène semble ravir la praticienne, visiblement amoureuse du travail bien fait. Un plan plus large nous indique que Clarisse est au bord de l’évanouissement. Coupure. Retour sur le plateau. Ursula tien dans la main un plateau d’argent dans lequel se trouve une foultitude d’aiguilles de toutes sortes. Elle pose le haricot sur la tablette, choisit une aiguille, déchire l’emballage de plastique et la plante dans la vulve turgescente de sa victime. L’opération en gros plan se répète. Au bout de quelques minutes la chatte de la vieille ressemble à un hérisson métallique. Le plan s’élargit et remonte vers la poitrine insignifiante de Clarisse. La doctoresse a maintenant d’autres visées. Avec une pince médicale, elle saisit le téton droit et tire à elle. Clarisse grimace. Ursula prend une aiguille fort longue et perce la chair de haut en bas. ...
    ... Bientôt Clarisse dispose d’une étoile d’aiguilles autour de chaque nichon. Gros plan puis zoom arrière. Ursula brandit une aiguille modèle ponction lombaire et l’enfonce horizontalement out droit dans un des mamelons suppliciés. Comme elle adore visiblement la symétrie, elle répète le mouvement sur l’autre mamelle. Clarisse s’évanouit. Coupure Retour sur Ursula qui dispose maintenant d’un gode vibrant Hitachi, qu’elle déclenche Elle pose la tête ronde sur la vulve de la vieille et entame un va et vient lent, tout en retirant une à une les aiguilles fichées dans le vagin. Le sang perle et finit par couler des micro-blessures. La naine branle avec avidité la pauvre Clarisse, qui tremble de tous se membres, partie à cause de la douleur des aiguilles, partie grâce au gode vibrant. Ursula ôte maintenant les flèches d’acier de la poitrine de Clarisse, le gode frottant les chairs tuméfiées. La aussi des gouttes d’hémoglobine perlent. Ursula revient au vagin de sa cliente et la branle violemment jusqu’à ce que celle-ci éclate, secouée de spasmes violents. La dernière scène s’arrête sur l’image apaisée du médecin passant un coton imbibé d’alcool sur les plaies de sa victime. C’est finalement le cameraman qui a le dernier mot, en annonçant d’une voix blasée : «C’est bon, tout est dans la boîte !» 
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