Ma vie de libertin - Les fillles du Minitel rose et du net - Nuit de folie à l'hôtel
Datte: 07/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... le plus possible pour que l’un et l’autre nous profitions bien de ces heures de folie amoureuse que nous nous offrons. Alors qu’après t’avoir donné une première jouissance dans cette position, tout en étant encore empalée tu te retournes et tu me présentes une nouvelle fois ton dos. Je te prends par la taille et tu commences un lent mouvement de bas en haut en veillant à ne pas faire sortir ma bite de ta chatte. La vision de tes reins, de tes fesses fendues qui s’écrasent sur moi, ton œillet qui apparaît quelques fois ont vite fait d’achever de m’exciter et pour la seconde fois en cet après midi je me vide en toi. Diane : • Oh mon amour ! Comme j’ai aimé te chevaucher en te montrant mon cul ! J’ai vraiment senti ta queue au fond de moi. Humm ta giclée alors à déclenché chez moi une jouissance extrême, profonde, puissante. Nous sommes tombés sur le coté, emboîtés comme des Lego et pour un instant, nous sommes restés là, haletants ! Et alors que je ne suis pas capable encore de décrire l’état d’abandon total dans lequel je me trouve, je sens tes bras autour de moi, comme une protection délicieuse. Je sens ton souffle, encore court, dans mon cou, et je déguste cette tendresse attentionnée avec volupté. Je me sens si décontractée que je ne dis mot, alors même que je sens ton corps contre le mien, je voudrais que cet instant dure éternellement. Je t’entends alors me chuchoter quelques mots dans l’oreille : - Humm coquine, tu m’as bien fait jouir. Merci amour. Incapable de ...
... sortir un mot, je ne peux que ronronner comme une chatte comblée. Je crois que nous avons dormi ensuite. Parce que là je me réveille. Nous sommes toujours en cuillère. Étroitement enlacés, emboités tant et si bien qu’une raideur entre mes fesses me fait penser que tu es réveillé toi aussi. Je ne bouge pas, je goûte juste cette délicieuse tension de ton sexe contre mes fesses. Au bout de quelques minutes, je n’y tiens plus, et commence une douce ondulation de mon corps pour bien caler cette raideur entre mes fesses et puis aussi apporter quelque chose à cette action délicieuse ! Je t’appelle : • Amour ? Pas de réponse. Mon dieu tu dors encore ! Et pourtant tu bandes déjà comme un taureau. Doucement je me dégage de tes bras et me retourne face à toi. Je coule sous les draps et saisis dans ma bouche ce gland déjà dur. Je le caresse de ma langue, je le vois réagir, se durcir encore, rosir. Humm. Tu bouges un peu alors comme pour m’offrir un meilleur angle. Je retiens mon souffle et ne dis mot. Mais heureusement, tu dors encore. Cette situation m’excite à fond… Je commence alors doucement à enfourner ce gland dans ma bouche baveuse et, ce faisant, je relève les yeux une seconde pour voir ton visage. Oh tu avais, je crois bien, les yeux ouverts ! Coquin de toi ! Je crois que tu faisais semblant de dormir ! Humm ta coquinerie m’excite encore d’avantage, d’autant que tu bandes à fond désormais ! MOI : Oui je dormais encore à moitié lorsque tu t’es glissée sous le drap pour entamer cette ...