1. Découverte


    Datte: 17/09/2017, Catégories: fh, Oral

    ... effleurements très légers. Lénia halète et prononce des mots incohérents. Par instants, elle lui appuie sur la tête pour qu’il aille plus loin, plus profond, il en manque d’étouffer … Petit à petit, les caresses prodiguées par la langue d’Eymeric remontent vers un objectif par encore sollicité, le clitoris de Lénia qui appelle la langue d’Eymeric. Celui-ci l’aborde doucement puis franchement. Cette caresse électrise littéralement Lénia qui s’arc-boute en gémissant. Pendant que sa langue s’occupe de ce clitoris très réactif, Eymeric a glissé deux doigts dans le sexe de Lénia et commence un mouvement régulier de plus en plus rapide. Le corps de Lénia est couvert de sueur, elle respire très rapidement, les yeux fermés. Tout son corps et son esprit sont focalisés sur le plaisir qui monte graduellement. Ses muscles sont raidis et elle sent qu’elle approche l’orgasme tout en tentant de retarder celui-ci pour savourer encore cette montée inexorable. Eymeric accélère encore ses caresses, il veut la sentir jouir de sa bouche, de ses dents, de ses doigts. Il veut être au plus proche de cette jouissance. Il la sent vibrer, se tendre, perdre toute retenue et tout pouvoir sur son corps. Elle crie et son bassin bouge frénétiquement à la recherche de cette langue et de ces doigts qui prodiguent le plaisir. Elle jouit brutalement, presque sauvagement. Eymeric manque de se faire désarçonner, mais il tient bon et ne ralentit pas ses caresses pour faire durer ce plaisir. Ses doigts plongent ...
    ... profondément dans le sexe de Lénia, sa langue excite son clitoris avec force. Telle une réplique de séisme, Lénia jouit à nouveau en plantant ses doigts dans le lit, les jambes très relevées, les fesses projetées en avant pour faciliter les caresses. Eymeric ralentit doucement le rythme pour permettre à Lénia de redescendre sur terre. Sa respiration s’apaise, les muscles se relâchent, elle ouvre les yeux et fixe Eymeric qui la regarde depuis son poste avancé dans son pubis. Lénia se redresse subitement. — Mon cochon, laisse-moi m’occuper de toi maintenant, je t’informe que j’ai réservé un repas dans le restaurant gastronomique de l’hôtel pour 19 heures. Amène-toi un peu pour que je me charge de cette grosse bosse que je vois dans ton pantalon. Au fait, merci, j’ai pris un pied d’enfer, tu lèches comme un dieu !— Merci. Lénia se rue sur Eymeric, lui ôte son pantalon avec des mouvements précis et avide de ce qui se trouve à l’intérieur. Elle baisse le boxer d’Eymeric et son sexe surgit, durci par une érection bien stimulée par les activités précédentes. Eymeric est tellement excité par les caresses qu’il a prodiguées à Lénia qu’il n’a envie que d’une chose, plonger son sexe au fond de cette bouche accueillante. Lénia l’a senti et elle engloutit le sexe au plus loin qu’elle peut et commence une pipe vigoureuse. Sa main droite caresse les testicules tandis que sa main gauche saisit la base du membre pour le branler. En bonne gauchère, elle branle de la main gauche, au tennis, ça ...
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