1. Qu'il en soit ainsi


    Datte: 08/01/2020, Catégories: fh, ff, fff, fbi, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, intermast, Oral pénétratio, jeu,

    ... discrète. — Tu t’habilles toujours comme ça pour sortir ?— Non, mais là, c’est particulier. Je te l’ai dit, quand on rentre, on a souvent d’agréables surprises. Malika, une des filles du harem, nous accompagne. Lorsqu’elle a su que nous avions demandé une « permission de sortie », elle a voulu nous accompagner sur un bout du chemin. — Tiens à propos de surprises, je vais vous abandonner là. À ce soir ! Devant ma surprise, Aïcha m’explique. — Lorsqu’elle sort, Malika va régulièrement rejoindre un garçon, un certain Fouad.— Ah ? Et c’est qui, ce garçon ?— Je ne sais pas. À mon avis, elle a beau dire que c’est son fiancé, je crois plutôt que c’est son fuckfriend.— Ah, je comprends. J’en avais un lorsque j’étais en France.— C’est vrai ? Un homme pour toi toute seule ?— Heu, non, je ne pense pas… Tu sais, c’est un peu le principe, en fait… Elle sourit. — Je comprends. Bon, nous sommes arrivées, voici le quartier où je suis née. Le quartier en question est charmant, mais pour être honnête, il pourrait tout aussi bien se situer au Maroc, en Tunisie ou en Égypte. Il y a une bonne raison à cela : l’émirat, grand comme un département français, ne dispose pas comme ses voisins d’une manne pétrolière gigantesque. Ce qui peut apparaître comme un souci majeur permet au moins à la capitale de ne pas être devenue une de ces mégalopoles invivables, et le pays tout entier a gardé une grande part de son charme authentique. C’est donc à un décor de carte postale que j’ai affaire : de toutes ...
    ... petites rues bordées de hauts murs blanchis à la chaux, çà et là, quelques rares ouvertures, toutes situées très haut et toujours soigneusement cachées par des moucharabiehs. Et puis, bien sûr, de splendides portails en bois sculpté, des recoins comme s’il en pleuvait, de minuscules placettes avec quelques vieux qui discutent, quelques rares bistrots où il fait visiblement bon prendre le thé et… Aïcha. Je ne peux résister à l’envie de la coucher sur le papier à chaque coin de rue, tant cette fille aux allures de princesse des mille et une nuits modernes, ne cesse de m’inspirer. Pour une « artiste » comme moi, cette fille est un ravissement. — C’est aussi beau que ça, la France ?— Oui et non. Disons que c’est différent.— Tu m’y emmèneras, un jour ?— Si l’émir te laisse partir assez longtemps, j’en serais ravie.— Tu ne vas pas recommencer ! Puis, après un silence. — J’ai vu plusieurs fois à la télévision qu’il y a une région que vous appelez Provence, avec de somptueux petits villages totalement déserts. J’aimerais tellement m’y promener nue et que tu m’y dessines. On le fera un jour, dis ? Je souris. Cette fille est folle. Adorablement folle. Puis, passant du coq à l’âne : — Tiens, je vais te montrer quelque chose dont nous sommes assez fiers, dans l’émirat. Quelque chose qui risque fort de surprendre l’occidentale que tu es. Là, quand au détour d’une rue, je découvre un immense bâtiment de verre et d’acier, je suis presque déçue. Pas la peine de lire l’arabe pour comprendre ce ...
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