1. Qu'il en soit ainsi


    Datte: 08/01/2020, Catégories: fh, ff, fff, fbi, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, intermast, Oral pénétratio, jeu,

    ... ils sont en train de s’amplifier et Aïcha, qui souriait jusque-là, est maintenant en larmes. Et la raclée ne cesse de s’intensifier, comme en témoignent les longues estafilades qui sont en train de devenir autant de marques bleues sur son corps meurtri. Ce n’est pas possible… Je hurle. Je n’ai pas le temps de comprendre, trois filles viennent de m’immobiliser. Tandis que l’une d’entre elles me bâillonne de la main, les deux autres me maintiennent au sol. — Tu vas te taire, à la fin ? Tu n’as pas encore compris qu’elles ont tout manigancé pour faire réagir le cheik et que cette dérouillée fait partie du plan ? T’es une cruche ou quoi ? Je n’en crois pas mes oreilles. — Et… Et… Tu veux dire que ça va être pareil pour Malika ?— Évidemment ! Ici comme ailleurs, quand tu as envie de te faire baiser, t’essaie d’être discrète ! Ou alors, c’est que tu cherches quelque chose… Eh bien, si c’est le cas, quelque chose me dit qu’elles l’ont trouvé, ce qu’elles cherchaient. Mais, pendant ce temps, le calvaire d’Aïcha continue, et il ne s’agit pas de cinéma… Elle hurle de plus en plus fort, les zébrures sont de plus en plus marquées, mais rien n’arrête le bourreau qui continue de distribuer les coups. Lorsqu’au bout de qui me semble une éternité, ceux-ci s’arrêtent enfin, la chaîne se détend et Aïcha, totalement épuisée, s’écroule sur le sol. Pour moi, c’est est trop, je tombe dans les pommes. Lorsque je reviens à moi, telle n’est pas ma surprise de me retrouver sur mon lit, avec Aïcha ...
    ... et Malika à mes côtés. — Ça va mieux, toi ? C’est assez fort de café, ce sont elles qui viennent d’être fouettées et ce sont elles qui me demandent si je vais bien ! — Il va falloir apprendre à maîtriser tes émotions, ma grande. En attendant, leurs corps sont couverts des longues estafilades que le fouet a laissées, mais elles ne semblent pas en être particulièrement affectées. Je m’en inquiète. — Vous êtes certaines que ça va bien ? Tout cela ne vous fait pas souffrir ?— Beaucoup moins que tu ne l’imagines, répond Malika. D’ailleurs, à ce sujet et puisque tu vas mieux, tu vas nous rendre un petit service, à toutes les deux.— Ah ? Lequel ?— Tu vas nous dessiner, là, maintenant. Dans la série « je suis sur le cul… » — Vous voulez dire, avec toutes ces marques ?— Bien entendu. Et on veut absolument qu’il n’en manque pas une seule.— Comme vous voulez… Alors, sans rien n’y comprendre, je sors mon chevalet. Elles sont toutes deux totalement nues, se tiennent par la taille et leurs sourires radieux contrastent avec leurs corps que je jurerais martyrisés. Soit ces filles sont folles, soit quelque chose m’échappe. De temps à autres, elles se murmurent quelques mots à l’oreille, que je ne comprends évidemment pas. Par contre, cela a l’air de terriblement les amuser. Soudain, alors que je m’accroupis pour prendre une mesure, avec un sourire entendu, elles se précipitent sur moi et me plaquent sur le sol. Malika se contente de me retenir les bras, mais Aïcha m’écarte les jambes sans ...
«12...121314...29»