Qu'il en soit ainsi - Histoires de Sexe

Qu'il en soit ainsi

... sur le sol. Seulement, comme d’ailleurs la plupart des autres filles, Hadiya sait exactement comment je fonctionne, surtout quand je suis dans un tel état d’excitation. Quelques coups de langue sur mon clitoris, ses doigts qui furètent entre mes lèvres, et son long, long majeur qui, d’un seul coup, me pénètre jusqu’au tréfonds de l’âme, et le décollage est immédiat. L’émir, lui, me regarde fixement dans les yeux, le sourire aux lèvres, l’air visiblement très amusé de la situation. — Majesté, je… je… je… Aaaaaah ! Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, puisque je viens de jouir. Pantelante, haletante, à peine redescendue sur terre, je l’entends continuer, toujours taquin : — Hadiya, voyons, ne la laisse pas comme ça… Tu vois bien qu’elle en a encore envie ! Je n’ai pas eu vraiment le temps de souffler, mais je suis de nouveau en partance pour le septième ciel. C’est d’ailleurs dans une demi-extase que je l’entends distinctement demander à Hadiya d’accélérer le mouvement puisqu’il est censé recevoir l’ambassadeur de Chine dans une demi-heure… Lorsque je rouvre les yeux, l’émir a disparu, mais ma partenaire ne cesse pas pour autant l’exploration de mon sexe. Du coup, et malgré tous mes efforts pour résister, trois minutes plus tard, j’explose de nouveau… Elle rigole. — Bon, ça va mieux, maintenant ? Tu pourrais peut-être t’occuper de moi ? Pour toute réponse, je plonge ma tête entre ses jambes. Elle va voir ce qu’elle va voir. ---ooooOoooo--- Les jours se suivent et se ...

... ressemblent, mais mon « problème » devient de plus en plus intolérable. C’est très simple, il m’est de plus en plus difficile de me calmer, et l’émir, qui est pourtant au courant de mon trouble, fait désormais mine de ne pas s’en occuper. J’en parle à Aïcha. — Depuis le jour où tu es arrivée, je me doutais que cela finirait comme ça, et j’appréhendais ta question.— Ah ? Pourquoi ?— L’émir te le dira lui-même. Parce que maintenant, il ne te reste plus qu’une chose à faire, aller lui demander de faire de toi l’une de ses compagnes. Cela m’apparaît soudain comme une évidence. — C’est d’accord.— Tu sais ce que cela représente ? Ce n’est pas tous les jours marrant, tu sais.— Je le sais, mais je m’en fous.— Très bien. Je vais demander une entrevue avec lui, et tu le lui diras. Attention, il peut très bien refuser, et dans ce cas, tu devras partir, définitivement.— Tant pis, je prends le risque.— Réfléchis bien, il y a des choses que tu ne sais pas. Inutile de lui demander quelles sont ces choses, je me suis toujours heurtée à un mur. Et l’ensemble des autres filles semble au courant mais ne veut rien dire. — M’en fous. Je prends le risque.— Dans ce cas, je m’en occupe. Je vais voir les gardes de ce pas. Elle est sur le point de partir, mais se ravise. — Ah, j’oubliais… Je serai avec toi.— Ben, j’aurais préféré le lui dire en tête-à-tête, vois-tu…— C’est hors de question. Tant que tu n’es pas intronisée, tu sais que l’on ne te laissera pas seule avec lui. Par contre, cela peut être une ...