1. Qu'il en soit ainsi


    Datte: 08/01/2020, Catégories: fh, ff, fff, fbi, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, intermast, Oral pénétratio, jeu,

    ... comité applaudir à tout rompre, tandis que les filles sont quant à elles complètement écroulées de rire. Et moi, comment dire… Je suis simplement rouge de honte. Et si l’émir est visiblement heureux du petit tour qu’il vient de me jouer, il met fin à mon supplice en dénouant mes liens, puis il me prend par la main. — Je suis désolé, mais c’était trop tentant, me glisse-t-il à l’oreille. Viens, il me semble que j’aurais des choses à te dire lorsque nous serons dans mes appartements. ---ooooOoooo--- Les couloirs qui mènent jusque chez lui, je les connais très bien pour les avoir arpentés un crayon à la main. Tandis que l’émir m’emmène jusque sonhome sweet home tout en me tenant par la taille, une idée me vient à l’esprit, quelque chose que je n’ai jamais vu faire par une autre fille. Si ce doit être une première, je serai celle-là. Tant pis pour le protocole, je le coince contre le mur, il croit que je vais juste l’embrasser mais il n’en est rien, je m’agenouille en catastrophe devant lui et je l’embouche. Je la joue comme si c’était une question de vie ou de mort, qu’il me fallait sa semence, là, tout de suite. Alors, sans lui laisser le temps de respirer, je lui prodigue la plus somptueuse fellation de toute mon existence. En quelques minutes à peine, je parviens à mes fins, et il éjacule à longs traits dans ma bouche. Je n’avale rien, juste pour lui laisser le temps de rouvrir les yeux, et lui montrer que son nectar est toujours sur ma langue. Puis, tout en le regardant ...
    ... dans les yeux, je déglutis. Le regard qu’il me lance alors en dit plus que tout, quelque chose me dit que je ne perds rien pour attendre… Et c’est exactement ce qui se produit, sitôt la porte de ses appartements ouverte, il me propulse littéralement sur l’un des somptueux fauteuils de l’entrée et là, cette fois c’est lui qui m’embroche comme si la survie du monde entier en dépendait. Pas plus que la gâterie dans le couloir, c’est quelque chose que je ne l’ai jamais vu faire, mais à ce moment précis, l’heure n’est pas à la réflexion : il me besogne avec une telle fougue, une telle force, une telle rage, mon excitation est à un tel niveau que, très vite, je crie, je crie, je crie, je crie encore et je me demande si cette jouissance finira un jour. Lorsque, quelques instants plus tard, j’ai enfin réussi à regagner l’atmosphère, le doigt que je passe entre mes lèvres me confirme ce que ce que j’avais déjà vu maintes et maintes fois mais que je ne parvenais pas à croire : ce type est capable de vous faire grimper aux rideaux avec une force incroyable tout en se retenant. Dans mon ventre, il n’y a pas la moindre trace de sa semence. Ce n’est que sur les coups de trois heures du matin, épuisés mais surtout affamés, qu’a lieu la première accalmie. Il m’emmène alors dans sa cuisine. J’avais d’ailleurs été surprise que ce chef d’état, s’il ne se fait tout de même pas sa tambouille, ne mange pas systématiquement au minimum au restaurant du palais. Caviar, saumon, foie gras, champagne, la ...
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