Année de terminale (29)
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... caresse la mienne, mon corps réagit, j’en gémis presque. Et je reprends mes esprits, le pousse, essuie ma bouche du revers de la main • Putain, qu’est-ce que tu fous ? • Je veux que tu saches que je ne t’ai pas abandonnée. • Mais oui, bien sûr. Tu me prends pour une conne en plus ? • Si j’avais continué à te soutenir, tu te serais laissée encore plus exploiter.... Emilie a appelé ton père. • Pourquoi ? … Tu... T’as fait quoi ?... Je me mets à pleurer en comprenant. Il a les yeux rouges aussi. Il commence à me dire "Parce que je t’ai...", et je suis partie en courant. J’ai eu peur de lui montrer ma véritable fragilité, j’ai eu peur qu’il sache que j’ai encore des sentiments, j’ai eu peur de l’entendre dire... Et j’ai passé tout le temps du déjeuner dans les toilettes à pleurer, puis me calmer, et me préparer pour la seconde épreuve du bac blanc. Je ne suis pas revenue en cours, ou tenter de le perturber avant la fin des épreuves. Je me suis concentrée, vraiment concentrée sur mes copies. Je n’ai donc par revu Paul ou les autres de la classe pendant les trois jours suivants. Je n’ai pas tenté de refaire peur au surveillant principal. De toute façon, il avait l’air de se pisser dessus dès qu’il me voyait. toutvvyq Et lorsque ça a été fini, j’ai attendu mon père à la maison. Il est rentré, m’a regardée • Tu es très ...
... belle. • Tu es un sacré cachotier... • Je ne vois pas de quoi tu parles. • Et si je te dis : Paul ? Il sourit et répond "Et tu comptes te venger avec ta jolie robe noire du 24 Décembre, ton maquillage simple mais efficace, ton manque de sous-vêtements. Pas de bas, mais des chaussures à talons aiguilles. Tu as dû mettre du temps à coiffer tes cheveux ainsi. Tu t’es enduite de la crème à l’huile d’olive, je le vois à la beauté de ta peau. Pas de parfum superflu. Ton foulard cache le diamant que je t’ai offerte et que tu te décides enfin à remettre. J’arrête là ou tu veux que je rentre dans les détails ?" Je n’en reviens pas de tout ce qu’il a vu en quelques secondes. Je comprends que je ne peux rien lui cacher. J’avance rapidement vers lui et l’enlace. Il en profite pour me dire "J’ai l’impression que ta journée s’est bien passée". Je ne veux plus qu’il parle, je l’embrasse, comme une amante. Je l’embrasse comme une amoureuse. Je suis plus que sa simple fille. Mes mains passent dans mon dos et descendent la fermeture éclaire. Je n’ai jamais voulu autant de quelqu’un qu’à cet instant. Et il a su répondre à mes envies, m’écouter, être à moi tout comme j’ai été à lui. Au moment où il a éjaculé dans mon corps, l’envahissant de son nectar chaud, je lui ai avoué mon véritable secret : "Je t’aime papa et personne d’autre".